Critique Resident Evil 2 [1998]

Avis critique rédigé par Bastien L. le dimanche 26 octobre 2014 à 21h00

The Raccoon City incident

Testé sur PS3
Attention, ce test n'est pas une critique du jeu à sa sortie mais de sa version dématérialisé sortie en février 2012 sur le PSN pour 10 euros. D'autant plus qu'il s'agit de la version américaine Dual Shock.


Deux ans après l'excellent et culte Resident Evil, Capcom nous propose, avec une plus grande ambition, une nouvelle plongée dans l'horreur. Au programme : deux personnages aux destinées différentes et une ville entière envahie sur les zombies. Bienvenue à Raccoon City...

Resident Evil 2 fut mis en chantier par Capcom très peu de temps après la finalisation de Resident Evil en 1996. Si la production s'appuie sur le succès de l'épisode fondateur de cette série mythique, Shinji Mikami décide néanmoins de prendre du recul, laissant sa place de réalisteur à Hideki Kamiya (à l'époque un quasi-inconnu, aujourd'hui un très grand nom de l'industrie). Le développement du jeu ne fut d'ailleurs pas de tout repos pour Capcom, qui dut abandonner une mouture déjà bien avancée car jugée trop ennuyeuse par Mikami (connue sous le nom de Resident Evil 1.5 par les fans). La firme approcha l'expérimenté Noburo Sugimura qui, à force de conseils judicieux, finit par prendre en charge le scénario avec pour mission de faire le lien entre les deux épisode, tout en apportant de nouveaux personnages.

Le jeu fit un carton dans le monde en 1998, au point que Capcom décida de ressortir le titre aux États-Unis et au Japon l'année suivante. Cette version Dual shock rend le jeu compatible avec la nouvelle manette de la PlayStation en permettant de diriger les personnages au stick analogique. Cette version inclus également un monde arranged permettant de jouer en débutant (un mode qui permet d'avoir dès le début de l'aventure les meilleurs armes du jeu avec munitions infinies).

Cette suite se veut donc bien plus ambitieuse que son aînée, la surpassant à plus d'un titre tout en gardant les mêmes mécaniques de jeu et sa base scénaristique. Vous arrivez dans un lieu inconnu qui est infesté de zombies, sauf qu'il ne s'agit plus ici d'un manoir isolé mais d'une ville entière ! Deux mois après les aventures vécues par Chris Redfield et Jill Valentine, une épidémie s'est propagée dans la ville américaine de Raccoon City. C'est dans ce chaos que débarque Leon S. Kennedy, venu prendre son premier poste en tant que policier. Il est rapidement attaqué par un mort-vivant et fait la rencontre de Claire Redfield, qui n'est autre que la sœur de Chris qu'elle cherche désespérément. Leur rencontre accidentelle et leur fuite sont racontées par une cinématique en images de synthèse qui rend l'introduction aussi culte que celle du premier opus. Sauf que cette fois-ci, fini les images filmées nanardesques  : les cinématiques impressionnent et permettent une meilleure implication dans le titre. Les deux héros vont néanmoins être séparés, et l'on contrôle Leon dans les rues d'une ville en flamme infestée de créatures.

Resident Evil 2 simule très habilement une ville en proie à l'apocalypse pendant les premières minutes du titre. Notre chemin vers le commissariat se fait avec un certain stress tant le nombres de zombies que l'on rencontre dans chaque décor est impressionnant. Si on se rend bien compte que l'on ne voit pas grand chose de la ville et que l'on n'a pas vraiment de liberté de mouvement, le spectacle n'en demeure pas moins saisissant. L'aspect technique a été amélioré par Capcom au niveau des effets, du nombre d'ennemis à l'écran et des graphismes en général. Le gros du jeu se déroule néanmoins dans l'immense commissariat où Leon arrive après la bataille puisque le bâtiment n'a pas résisté à l'assaut des zombies et autres créatures (comme les lickers dont la première apparition fait partie des scènes les plus iconiques du jeu vidéo). Notre bon policier va devoir survivre tout en recherchant d'éventuels survivants. Mais surtout, il lui faudra trouver un moyen de quitter ce cauchemar. Durant sa progression, il va pouvoir comprendre comment est tombé le commissariat, mais aussi découvrir la responsabilité de la société de recherche pharmaceutique Umbrella Corporation. Non seulement le T-Virus a refait surface mais un autre plus puissant semble être impliqué, le G-Virus...

Le scénario de Resident Evil 2 se laisse découvrir avec plaisir et se fait en plusieurs parties. On incarne d'abord Leon, puis Claire afin de connaître le fin mot de l'histoire. Cela permet de comprendre quelques détails de l'aventure comme un hélicoptère encastré dans le commissariat ralentissant la progression de Leon, dont on assiste au crash lorsque l'on incarne Claire (on n'a néanmoins pas le choix au début, car jouer Claire est la récompense pour avoir terminé l'histoire avec Leon). Les cheminements, les rencontres et les cut-scenes sont différents entre les deux protagonistes, les histoires se complétant bien plus que les parties distinctes entre Jill et Chris dans le premier opus. Les quelques survivants rencontrés sont souvent plus complexes qu'il n'y paraît, à l'instar de la belle Ada Wong (cherchant son mari) ou de la scientifique d'Umbrella Annette Becker (dont on croise aussi la fille), le tout sans oublier le très louche chef de la Police Irons...

Le jeu rappelle ainsi les films où des zombies assiègent un vaste lieu (comme Zombie de Romero voire Assaut de John Carpenter qui se situe aussi dans un commissariat). L'écriture de l'histoire est bien plus soignée que pour le premier Resident Evil, et on prend plaisir à suivre les interactions entre les personnages ainsi que les nombreux rebondissements rendant les motivations de chacun peu manichéennes. On parcourt ainsi les couloirs du commissariat dans ses différentes parties, et ce jusqu'a l'inévitable laboratoire d'Umbrella. Les mécanismes et la progression restent ainsi peu changés, mais la mise en scène et l'intensité dramatique - la musique est d'ailleurs plus présente et mieux écrite - font que le titre est remarquable. Les zombies ont plusieurs aspects et différents stades de transformation, on croise des créatures gigantesques ainsi que des boss toujours aussi retors, le tout avec un gore plus présent. L'horreur se ressent donc toujours autant avec des scripts toujours aussi ingénieusement placés pour nous faire sursauter. La solitude pèse toujours autant sur nos épaules et les mécaniques du jeu continuent à donner tout son sens au mot survie.

Les bases de Resident evil restent donc les mêmes que dans le premier opus : des décors fourmillant de détails pré-calculés sur lesquels on se déplace et on affronte les ennemis. On ne contrôle ainsi pas la caméra, ce qui permet aux développeurs de bien nous faire stresser (grâce à cette contrainte, on entend trop souvent ce qu'on ne voit pas). Les personnages ne sont pas très rapides, un peu rigide avec peu de places dans leurs inventaires. Aucune véritable amélioration de ce côté, comme pour les nombreux aller-retour que l'on va devoir réaliser pour comprendre les énigmes, trouver les bons objets et revenir au bon endroit au bon moment. Cela permet certes d'allonger la durée de vie, mais aussi d'augmenter un peu la pression afin de faire travailler ses méninges. Il va falloir tout fouiller et s'interroger sur tout ce qu'on l'on voit pour faire le plein de santé et de munitions (si elles ne sont pas rarissimes, on ne nous les secoue pas sous le nez non plus). Différentes armes sont ainsi de la partie : couteau, pistolets, fusil à pompe, arbalète et lance-roquettes... Il faut également trouver de l'encre afin d'obtenir le droit de sauvegarder sur les machines à écrire (une nouvelle fois, sauvegarder est une action qui nécessite de la réflexion).

Toutes ces contraintes donnent de la force au jeu, mais peuvent également rendre sceptique. Les différentes énigmes pour accéder à des pans entiers du commissariat laissent parfois perplexes : pourquoi faut-il déplacer des statues ou placer des cristaux pour pouvoir accéder à des parties du bâtiment comme les prisons ou l'administration ? Cette suite fait donc encore trop jeu vidéo dans certaines logiques de progression, et on apprécie plus le dernier tiers de chaque partie qui semble plus logique grâce à l'ambiance laboratoire secret. Ces limitations techniques se ressentent aussi dans le fait que les ennemis ne peuvent toujours pas vous suivre quand vous changez de pièce puisque le passage d'une porte sert de temps de chargement.

​Les zombies et autres créatures étant bien plus nombreux, il va falloir pratiquer l'esquive et la fuite forcée (surtout en ce qui concerne Claire qui est poursuivie par un ennemi qui finit toujours pas se relever malgré le nombre de munitions qu'on lui envoie). Nettoyer certaines zones sera donc utile par moments afin d'avoir la liberté de fouiller. Si combattre les ennemis de base s'avère assez jouable, les boss plus rapides et meurtriers rendent plus évidents les limites du gameplay, ce qui est d'autant plus dommage que ces combats sont vraiment bien mis en scène et que ces créatures impressionnent.

Resident Evil 2 est aussi difficile que son prédécesseur du fait des limitations imposées par les développeurs et des énigmes parfois retorses puisqu'il faut observer les décors au bon endroit pour comprendre ce qu'on attend de nous. Néanmoins on ressent quand même une certaine liberté pour faire le jeu car après la première partie, on peut s'imposer des contraintes ou même voir si on peut emprunter des chemins différents afin de progresser plus vite. Le jeu a donc ses défauts mais chaque joueur pourra optimiser ses parties selon sa convenance. De même, la version présente sur le PSN permet ainsi de jouer en mode débutant avec le lance-roquettes aux munitions infinies donnant une toute nouvelle approche au titre.

Encore une fois, cela reste dommage que seule la version anglaise du titre soit disponible, non pas pour les doublages manquant de conviction, mais pour comprendre totalement les indices des énigmes ainsi que les nombreuses traces écrites que l'on trouve partout et qui permettent de comprendre la progression de l'épidémie. Le titre semble plus court que le précédent quand on ne le fait qu'une fois. Néanmoins la durée de vie est doublée par les deux personnages qui permettent une véritable complémentarité au niveau de l'histoire malgré quelques passages et énigmes identiques.

La conclusion de à propos du Jeu Vidéo : Resident Evil 2 [1998]

Auteur Bastien L.
87

Resident Evil 2 est tout aussi mythique que le premier opus. Les équipes de Capcom ont livré un titre bien plus ambitieux au niveau de son scénario avec deux histoires distinctes complémentaires. Le jeu est techniquement excellent pour 1998, permettant une introduction dans une Raccoon City infestée en flamme qui fit date. L'ambiance, les nombreuses créatures et la jouabilité à contraintes permettent de rendre l'expérience plus flippante et stressante que jamais. Découvrir le commissariat vide avec Leon ou Claire est un des plus grands moments du jeu vidéo. Un titre incontournable...

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