Critique Resident Evil 5 [2009]

Avis critique rédigé par Bastien L. le samedi 26 août 2017 à 09h00

Une suite trop zombifiée par son prédecesseur.

Test de l'édition « gold » sur PS3.

Dire que Resident Evil 5 était un jeu attendu début 2009 est un doux euphémisme. Un jeu qui déchaîna les passions lors de sa sortie, un sentiment global de déception pour un jeu pourtant bien accueilli si on ne fait attention qu'aux chiffres. Qu'en est-il vraiment au final ? Tentative de réponse des années après...

A l'origine il y a Resident Evil développé par la firme japonaise Capcom sorti en 1996. Une claque monumentale infligée aux possesseurs de PlayStation et qui explique au monde entier ce qu'est le survival-horror. S'en suit une multitude de suites qui reprend les mêmes principes avec une tournure action plus importante et une accessibilité grandissante jusqu'à un Resident Evil 0 qui s'avéra une déception commerciale pour plusieurs raisons. Le navire Resident Evil tangue sérieusement et la firme nippone décide de tout changer, en rappelant ses meilleurs développeurs, pour réaliser Resident Evil 4 sorti en 2005. Une refonte totale de la saga et un hit planétaire qui donna ses lettres de noblesse au genre du Third-Person-Shooter (TPS pour les intimes) et devint un modèle pour les jeux d'action. Cette réussite méritée acquise, Capcom se projette sur la nouvelle génération de consoles (360 et PS3) en tentant de rééditer l'exploit. Le projet Resident Evil 5 est confié à Jun Takeushi, employé fidèle de la maison Capcom mais pas vraiment le plus à même de révolutionner la série. On a le sentiment que Capcom lui a demander de rééditer l'exploit en restant fidèle aux principes de Resident Evil 4. Trop fidèle malheureusement...

Après l'Espagne, le jeu se déroule cette-fois ci dans un pays fictif d'Afrique subsaharienne. Un pays en proie à une grande pauvreté s'accompagnant d'une instabilité politique. Une proie idéale pour les marchands d'armes biologiques afin de vendre les dernières créations aux différentes factions sur place. Mais une agence internationale veille pour éviter la prolifération de ces armes : le BSAA où travaille l'agent Chris Redfield (héros de Resident Evil et Code : Veronica) chargé de trouver et d'appréhender un marchand d'arme biologique devant faire une transaction dans ce pays étouffant. Il est accompagné par l'agente chargée de cette zone, la jeune Sheva Alomar. Notre duo se lance à la poursuite du trafiquant en parallèle de troupes au sol déjà infiltrées dans la zone. Malheureusement, leurs adversaires sont au courant de leur présence et décide de lancer des créatures à leur poursuite. Chris et Sheva constatent rapidement que les Plaguas (créatures asservissant les corps dans lesquels elles sont introduites) contrôlent une partie de la population qui se retourne contre eux. Tout en survivant, notre duo se lance à la poursuite du trafiquant et découvre la vaste conspiration et la menace mondiale qui existent sur place. Deux noms vont par ailleurs retenir l'attention de Chris : son vieil ennemi Albert Wesker et son ancienne partenaire Jill Valentine. Deux protagonistes censés être morts mais dont les corps n'ont jamais été retrouvés.

Les scénarios des Resident Evil ont toujours été des nanars en puissance mais l'intérêt était bien souvent ailleurs. L'expérience de jeu était tellement captivante qu'on pardonnait beaucoup aux situations convenues ou trop improbables et à la platitude des dialogues. Car l'ambiance était là et on était happé par les jeux. Premièrement, l'Afrique est totalement inexploitée dans cet épisode qui aurait pu se passer n'importe où. Au moins les décors sont crédibles contrairement à l'Espagne qui n'en avait que le nom dans le quatrième épisode. On traverse ainsi des bidonvilles, une sorte de savane et des marais où vivent des tribus. Mis à part ça, le contexte géopolitique de l'Afrique n'est pas du tout exploité malgré un début prometteur. Et les autres décors, une raffinerie, des grottes, ruines et autres laboratoires secrets auraient pu se trouver n'importe où. Ce qu'on reproche le plus à ce scénario c'est son manque incroyable de background quand on fait le jeu. Seuls Chris et Wesker (tout droit sorti de Matrix) sont légèrement travaillés et les nouveaux protagonistes sont juste là pour faire avancer l'histoire à l'image de Sheva Alomar qui n'est absolument pas présentée au-delà de ce qui est dit plus haut. Pourquoi avoir créé ce nouveau personnage pour ne rien en faire alors que la saga regorge déjà de personnages féminins...

Les différents rebondissements ne sont jamais surprenant mais le plus stupéfiant reste que ce Resident Evil  ne fasse jamais peur. De sa campagne marketting jusqu'au synopsis au dos de la jaquette, Capcom nous vend un survival-horror où la peur domine. Ce qui n'est jamais le cas et les différentes cinématiques ne souhaitent jamais instaurer la peur, seulement le malaise. De même que les différentes tentatives de jump scares présentes ne fonctionnent jamais... Autre point discutable, la volonté de Capcom de rendre secondaire la richesse de l'univers mis en place. Le scénario s'avère donc plus complexe et intéressant pour qui aime chercher et qui aime lire. Les différentes informations sur l'origine d'Umbrella et son démantèlement ainsi que les actions du BSAA où les rapports entre cette partie de l'Afrique et l'industrie des armes biologiques sont expliqués dans des notes trouvés dans le jeu ainsi que dans les dossiers déblocables dans les menus. Les fans apprécieront cette volonté de rendre cohérent l'univers mais auraient préféré que cela soit fait pendant les cinématiques en replacement de ces dialogues trop caricaturaux. Les cinématiques se laissent néanmoins suivre avec un bon intérêt du fait de leur dynamisme et de la grande qualité graphique du titre.

Pour un titre PS3-360 de début 2009, le jeu est vraiment beau. Les décors sont assez variés pour qu'on en prenne plein les yeux et qu'on ne trouve jamais le titre redondant à ce niveau. Mais ce qui impressionne le plus c'est le travail fait sur les personnages principaux avec des expressions faciales jamais aussi bien réalisées pour la série. Les ennemis ne sont pas en reste et sont très bien réalisés. Le titre est tellement beau que les cinématiques sont faîte avec le moteur du jeu. Si les personnages principaux sont satisfaisants, si on met de côté le côté trop bodybuildé de Chris, on apprécie plus la variété des ennemis : les différents types de Majini (les êtres humains infectés) selon les lieux mais aussi les araîgnées, hyènes, créatures volantes et même les lickers que les fans ne connaissent que trop bien. C'est un véritable festival proposé par Capcom qui a apporté un soin particulier à l'aspect de nos ennemis. On ne peut malheureusement pas en dire autant de leurs animations dont on a l’impression qu'elles sont un copier/coller de celles des ennemis de Resident Evil 4. C'est d'ailleurs cette impression de Resident Evil 4.5, selon plusieurs aspects, qui est le défaut majeur du titre. L'amélioration graphique est assez impressionnante permettant de mettre en scène des créatures rampantes et grouillantes propres à l'épidémie que l'on affronte.

A ce titre les boss sont assez impressionnants et leur multitude permet de bien s'amuser lors des combats. Ils sont vraiment nombreux offrant un challenge et un stress supplémentaires quand il faut les combattre. Ils sont très bien animés et cassent un peu la monotonie d'un titre qui ne manque néanmoins pas de rythme. L'ambiance est donc réussie pour un jeu d'action, moins pour un survival-horror cela dit. Quelques scènes réussiront à apporter un certain stress mais Capcom présente ici un tout action et offre aux joueurs de quoi s'amuser. Pour terminer sur l'ambiance du jeu, le travail sonore est une réussite, les ennemis fournissent assez de bruit pour s'y croire et les armes ont du répondant. Les cris des Majinis et des différentes créatures fonctionnent plutôt bien. On apprécie aussi les musiques assez variées qui accompagnent plus que correctement l'action. Enfin les doublages anglais sont d'assez bonnes qualités malgré la platitude des dialogues.

En ce qui concerne le gameplay, Resident Evil 5 est une synthèse entre Resident Evil 0 (l'aspect coopération entre deux personnages) et Resident Evil 4 (pour la maniabilité). Ce qui entraîne finalement le principal point noir du titre qui est la maniabilité de nos héros. Alors certes il s'agit de la même que Resident Evil 4 qui fut jugée, à juste titre, excellente. Mais elle était novatrice et le jeu est sorti en 2005 sur la génération 128-bits. Alors que Resident Evil 5 sort quatre ans plus tard sur une nouvelle génération. La fluidité de l'ensemble est très bonne si ce n'est la lourdeur des héros ! On a l'impression de contrôler des 35 tonnes dont l'erreur la plus impardonnable est d'avoir persister à ne pas pouvoir se battre et se déplacer en même temps. Contrairement à nos ennemis évidemment... Cela peut se comprendre pour un survival-horror mais Resident Evil 5 n'en est clairement pas un, c'est un pur jeu d'action. Et en ce qui concerne son gameplay, c'est un jeu d'action au gameplay bien trop archaïque pour être crédible face à la concurrence. Pour ce qui est des jeux d'action à l'aide d'armes à feu, le titre est inférieur à Gears of War 2 ou même à Uncharted : Drake's Fortune sortis avant lui. Et pour l'aspect purement survival, on peut citer Dead Space qui l'écrase assez facilement. Ce gameplay bancal et cette volonté de ne pas totalement trancher entre action et survival dessert totalement le jeu. L'action est présente à outrance et le jeu garde des mécaniques pénibles de survival. L'inventaire limitant le nombre d'armes et de munitions (chaque arme n'est à ramasser qu'une fois dans le jeu sinon il faut la racheter) devient un handicap et on l'accepte bien moins qu'avant puisque l'action effrénée est en contradiction avec ce principe. On peste donc contre la lourdeur des personnages et l'obligation de fouiller les décors pour trouver munitions et objets précieux afin de se refaire un stock entre deux situations et entre chaque chapitre. On rage donc souvent en se disant que Capcom n'a pas eu les reins assez solides pour compléter la mue de Resident Evil en franchise vraiment tournée vers l'action.

Malgré tout on arrive à s'y faire à ce gameplay avec un temps d'adaptation pénible. A ce titre le jeu ne pardonne pas vraiment puisqu'il peut s'avérer assez difficile tant il se montre exigeant dans le nombre des munitions et des soins. Et on s'amuse quand même au final car tout est fait correctement, à part la maniabilité, pour nous en mettre plein les yeux et assurer un amusement de tous les instants. On ne s'ennuie jamais et pas mal de situations propose de bonnes sensations. Les armes sont assez différentes pour s'amuser : pistolets de base, couteaux, matraque électrique, mitraillettes, fusils à pompes, fusils sniper, lances grenades ect... A titre personnel, enchainer les headshots au sniper est assez jouissif. Les quelques énigmes sont juste là pour bien distiller le rythme et font pâles figures à côté de celles des premiers épisodes. L'autre grosse nouveauté de cet épisode est l'aspect coopération du titre. Je n'ai quasiment pas essayé de faire le jeu en solo pour ainsi dire. Le titre pend toute sa saveur en coopération où l'ensemble fonctionne assez bien puisqu'on peut échanger nos armes et se donner des objets. On peut aussi soigner son partenaire, tout en se soignant avec le même spray. On est parfois séparer et agir de concert, l'un protégeant souvent l'autre, est assez galvanisant. L'aspect coopération reste donc une véritable réussite.

Le jeu est aussi largement axé sur la rejouabilité qui est assez efficace pour qui a véritablement accroché. Après la fin du jeu, qui vous prendra entre 10 et 12h, vous avez des occasions d'y revenir. Tout d'abord au travers du magasin qui est accessible entre chaque chapitre et chaque mort qui permet d'acheter et d'améliorer les armes. Et cela change vraiment car les armes améliorées deviennent plus puissantes et plus efficaces. Votre prestation à chaque chapitre est notée et débloquer le rang S maximum peut être un bon challenge pour les hardcore gamers. Enfin, l'édition « gold » de Resident Evil 5 comprend tous les contenus téléchargeables du titre. Les modes mercenaires calquées sur celui de Resident Evil 4 ainsi qu'un mode affrontement en ligne. Cela permet d'agrandir la durée de vie même si ces modes, qui sacralisent l'action, sont assez accessoires.

La conclusion de à propos du Jeu Vidéo : Resident Evil 5 [2009]

Auteur Bastien L.
69

Pour ceux n'ayant pas encore mis leurs mains sur Resident Evil 5, il est vrai que le titre de Capcom est bien la déception présentée par tous. Il ne s'agit plus du tout d'un survival mais l'aspect action n'est pas assez assumée. On se retrouve avec un gameplay ayant le cul entre deux chaises tandis que les meilleurs titres d'action de l'époque distancent sans problème ce Resident Evil. Malgré tout, le jeu reste amusant grâce à une technique plutôt bonne, des sensations intéressantes et un aspect coopération réussi. Dommage que le scénario soit si peu consistant...

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