Critique Nouvelle ère #4 [2012]

Avis critique rédigé par Jonathan C. le mercredi 1 février 2012 à 18h51

l'ère de repos

Underworld4 affiche US

Quoique pompeux, reprenant à leur compte d’autres succès du genre vampirique, les trois premiers Underworld développaient une mythologie structurée, très aguicheuse et étonnement riche, sur la base pourtant pas nouvelle (mais pas courante non plus) de la confrontation qui oppose, dans l’ombre de notre monde, les vampires et les loups-garous. Sorti discrètement en 2003 et produit avec un budget modeste de 22 millions de dollars, le premier film fut une relative bonne surprise (tant artistique que commerciale) exposant efficacement cet univers de mythes que les deux suites creusaient un peu plus ; il en ressortait une palpitante intrigue de guerre/espionnage (mais à la sauce vampires VS lycaons) se déroulant sur plusieurs années et mettant en avant, grâce à une iconographie forte, des personnages classes et puissants comme  Lucian/Michael Sheen, Kraven/Shane Brolly, Viktor/Bill Nighy, Marcus/Tony Curran, Corvinus/Derek Jacobi, William/Brian Steele , Raze/Kevin Grevioux et, bien sûr, l’héroïne Selene/Kate Beckinsale. Après un Underworld : Evolution jouissif, qui restera comme le meilleur opus de la saga pour sa violence graphique, sa générosité débordante (faut dire qu’il a couté deux fois plus cher que le premier) et son esthétique très comics-book (du sous-Guillermo Del Toro) illustrant avec force cette mythologie et s’éloignant de l’estampillage gothique très surfait du précédent Underworld, le troisième film, un Underworld : Le soulèvement des Lycans délaissé par Len Wiseman et sa femme Kate Beckinsale (et la présence de Rhona Mitra ne parvient pas à combler cette absence), ne servait pas à grand-chose puisqu’il se contentait d’entrer dans le détail de ce qui avait été précédemment raconté dans des flashbacks. Mais il y avait au moins à voir dans cette grosse série B horrifico-médiévale pas très bien foutue voire même un peu cheap (c’est le premier long métrage de Patrick Tatopoulos, qui avait déjà conçu les créatures des deux précédents opus) mais plutôt généreuse (des combats entre vampires et loups-garous, c’est toujours bon à prendre). Ce qui n’est pas le cas du quatrième Underworld, repris par Måns Mårlind et Björn Stein, les réalisateurs suédois du Silence des ombres, les producteurs ayant semble-t-il cherché des réalisateurs scandinaves pour ce projet (Jalmari Helander, le réalisateur de Père Noël Origines, avait été envisagé mais il eu la bonne idée de décliner l’offre). Len Wiseman et Kate Beckinsale reviennent, le premier à l’écriture et à la production, et la seconde à l’écran. Le « retour des VRAIS vampires » sur l'affiche française (petite tique promotionnelle adressée à Twilight, d’ailleurs vendu par le même distributeur) était donc plutôt prometteur pour ceux qui avaient apprécié les précédents films. Si ce n’est pas le cas, passez votre chemin. D’ailleurs si c’est le cas, passez aussi votre chemin. Si vous êtes curieux ou maso, vous pouvez y aller...

Underworld Awakening teaser

Underworld Awakening

Underworld : nouvelle ère est donc la suite directe (plusieurs années les séparent tout de même) de Underworld : Evolution, l’opus bloqué entre ces deux-là étant une sorte de spin-off historique qu’il n’est pas nécessaire d’avoir vu pour entamer ce quatrième épisode. Contrairement aux autres films, Underworld : nouvelle ère ne fait absolument pas avancer la mythologie, malgré son pitch ambitieux : gardée en cryogénisation pendant des années par une entreprise de biotechnologies, Selene/Kate Beckinsale se réveille (toute nue, mais on voit rien) puis s’échappe du laboratoire (plus toute nue, parce qu’elle a choppé une combinaison d’action-woman façon Alice dans un Resident Evil filmique). Alors qu’elle se lance à la recherche de son amoureux Michael (toujours Scott Speedman, qui n'a pas une seule réplique à lui), elle découvre un autre monde, ou vampires et loups-garous, en voie d’extinction, se cachent des humains qui les traquent et les éradiquent. Poursuivis par l’Armée, les scientifiques et les flics, Selene se trouve un allié vampire et découvre par hasard une adolescente qui se trouve être sa propre fille (on sait pas trop d’où elle sort, mais bon…), donc une enfant hybride super-puissante mi-vampire mi-lycan. Selon l’aveu-même d’un des producteurs, ce « rebondissement permet d’envisager une suite dans le futur », oui parce qu’ils ont tout prévu, les petits malins.

Selene flingue

Plutôt excitant sur le papier, Underworld 4 déçoit tant dans la forme que dans le fond. La nouvelle ère en question, censée amener un nouveau souffle dans la saga, est réduite à des laboratoires aseptisés, des couloirs high-tech, des souterrains sombres et des ruelles humides qui se ressemblent toutes, alors que les précédents films en montraient bien plus de l’univers. Pour illustrer cette ville imaginaire de nouvel underworld, la production a opté pour Vancouver, une ville qui, selon eux, peut aussi bien avoir l’air gothique et européenne que futuriste, avec l’appui de bidouillages numériques. Mais le tournage à Vancouver ne fait que renforcer ces accents de DTV qu’avait déjà le troisième opus. Avec cet environnement dénué de charme et dont l’architecture rectiligne et carrée évoque l’Europe de l’Est soviétique, Underworld : nouvelle ère s’éloigne ainsi de l’inspiration gothique et heroic-fantasy des précédents films, déco savoureusement kitsch et romanesque dont on ne retrouve ici que le repaire ancestral du clan des vampires, sorte de crypte médiévale contrastant avec le béton des autres décors, telle une bulle symbolisant le passé et le mythe au milieu d’un couloir blanc. Ces décors limités, répétitifs et épurés associés à une esthétique clip et géométrique donnent l’impression d’être dans un Resident Evil de Paul W. S. Anderson. Car ceux qui se plaignaient de cette esthétique branchée et tape-à-l’œil sur le premier Underworld devraient avoir encore plus de mal avec celui-ci, de loin le plus « clipesque » de la saga, et aussi le plus « clean » visuellement, au point de donner l’impression d’un film de vampires fraichement sorti de la machine à laver puis amidonné. C’est rigide, froid et plan-plan, là ou l’esthétique gothique aussi chic que carnavalesque du premier Underworld (dans lequel on se croirait parfois en pleine soirée déguisée d’Halloween ou plongé dans un clip de Nightwish ou d’Evanescence) conférait un charme certain à l’ensemble, en tout cas un minimum de personnalité et de caractère. De la part des réalisateurs des étranges Le Silence des ombres et Storm, on pouvait s’attendre à une atmosphère intéressante, séduisante et très scandinave pour Underworld : nouvelle ère, mais il n’en est rien. Alors que les deux premiers volets bénéficiaient d’une bande-originale de qualité, la musique métallique lourde et étouffée (on dirait du Saw) de Paul Haslinger, un ancien de Tangerine Dream à l’œuvre également sur le premier et le troisième film, participe à conduire Underworld 4 dans son ennuyeuse routine.

Len Wiseman n’était (et n’est) peut-être pas un génie mais, issu des effets spéciaux et de chez Roland Emmerich, il savait composer des plans ayant de la gueule et dégageant un minimum de puissance iconographique qui permettait aux personnages de se démarquer. Ici, pas un seul des personnages secondaires ne restera en mémoire, d’autant plus que les rares bad guys ne font pas le poids à coté d’un Marcus, d’un Kraven ou d’un Viktor. On ne retrouve plus (ni dans le fond ni dans la forme) les personnages élégamment horrifiques imaginés par Kevin Grevioux (le grand black qui joue Raze dans Underworld et Underworld : Le soulèvement des Lycans), Danny McBride (un cascadeur !) et Len Wiseman (mal aimé depuis son Die Hard 4). Déjà bien fade dans les deux premiers films, Michael Corvin/Scott Speedman est ici tout bonnement inexistant, Theo James fait un vampire insipide, et la prestance imposante et inquiétante des british Charles Dance (qui confie avoir accepté le rôle pour faire plaisir à sa fille fan des précédents films) et Stephen Rea (l'acteur fétiche de Neil Jordan) ne peuvent sauver la médiocrité de leur personnage vite expédiés malgré leur potentiel. Et surtout, Len Wiseman savait filmer son épouse ! Kate Beckinsale est une femme superbe, mais jamais les réalisateurs d’Underworld 4 ne sont foutus de la magnifier et de rendre à son personnage toute sa  force, y compris dans l’action, alors qu’elle est pourtant « capable d’une plus grande violence dans cet opus », nous promet le producteur. Quand la brunette Kate prenait la pose dans les deux opus de Wiseman, c’était classe. Quand elle le fait dans Underworld : nouvelle ère, c’est plus kitsch qu’autre chose. Peut-être cette fragilité esthétique et narrative est-elle la conséquence d’une méthode de travail incertaine (les deux réalisateurs choisissent à pile ou face qui va réaliser un jour sur deux !).

Underworld team

Auteur de l’histoire de base, et impliqué selon le producteur dans toutes les étapes de la création (décors, scénario, casting…), Len Wiseman en aurait fait une série B plus emballante s’il n’avait pas été pris par son remake de Total Recall, toujours avec sa dulcinée au générique. L’un des bonnes idées de son pitch était de donner une fille à l’héroïne, une fille nommée Eve (merci la métaphore pataude), née d’une union entre un vampire et un loup-garou (c’est un peu ce qu’on aurait voulu voir dans un Twilight) et qui promet donc, grâce à ce métissage unique, d’être extrêmement puissante (elle en donne un bref aperçu sur un malheureux loup-garou qui tente de la mordre). Hormis une jolie scène intimiste dans laquelle la fille reproche à sa mère d’être froide et distante (la machine à tuer qu’est Selene s’y dévoile vulnérable et désemparée), la dramaturgie d’une Selene nouvellement mère protectrice malgré elle (et sans père) n’est guère développée, et l’apparition de l’enfant ne semble pas avoir beaucoup de conséquences chez notre héroïne.  

Par ailleurs, Underworld : nouvelle ère se contente ici de ressasser les « archétypes intemporels des loups-garous et des vampires » (dixit le producteur), c’est-à-dire la « force destructrice pour le loup garou, la partie sexy et sombre pour le vampire ». Ils ne se donc pas foulé, alors qu'ils étaient censés apporter du sang neuf.  Le film n’exploite guère la solitude de ces créatures fantastiques dans un monde ou ils sont désormais chassés par les humains et ou ils vivent reclus (disons, plus que d’habitude). Que les vampires et loups-garous soient devenus une minorité et crèvent de peur (cf. le clan des vampires vaincus qui se terrent dans une grotte, ou les loups-garous marginaux semblables à des zombies ou a des chiens errants) dans un univers ainsi plus humain que mythologique, ça change tout de même quelque chose : le film en devient en effet beaucoup moins horrifique et fantastique, prenant plutôt la forme d’un banal thriller de science-fiction incluant même l’enquête soporifique d’un inspecteur (Michael Ealy, Marshall Vogel dans FlashForward), de quoi plomber encore un peu plus le récit. Heureusement qu’un Lycan géant et quasi-invincible (fruit des expérimentations humaines) traine dans les parages. Bref, les scénaristes de Ninja Assassin, Thor, Un Automne à New York, Festin d'amour ou du remake de Fame (avec un C.V. pareil on ne s'étonne pas du résultat) ne font pas grand-chose du pitch de Len Wiseman...

Selene pose

Les Underworld étaient plutôt généreux en fight-gunfights opposant vampires et lycaons, ce qui pouvait combler les amateurs de séries B bourrines, ceux-là même qui devraient déchanter devant cet Underworld : nouvelle ère, alors que le producteur annonce un « regain d’action et de violence » censé rassurer les fans (ou comment considérer les geeks comme des gros bourrins décervelés, mais passons...). En plus d’être beaucoup moins sanglant que ses prédécesseurs qui, eux, ne manquaient pas de gore (mention au deuxième opus avec ses fulgurances craspecs), Underworld 4 est aussi étonnement avare en action, alors qu'il jouit du plus gros budget de la saga (70 millions de dollars, ça commence à faire beaucoup), devançant de loin Underworld : Evolution et ses 50 millions (qu'on voyait à l'écran, pour le coup). Brièvement animée par un vague esprit de vengeance (« Vengeance returns », affirme subtilement l’affiche américaine) et par une furtive badass attitude (elle s'est calmé, la furie des deux premiers films), Selene fait bien quelques cascades ostentatoires et au ralenti (ses poses de Girl with gun sont amusantes) en s’échappant du laboratoire puis flingue quelques lycaons dans des sous-sols, échanges de balles stylisés se la jouant John Woo à coups de gros ralentis. Mais elle avait bien plus à faire dans les deux premiers Underworld, finissant sur les rotules à la fin du deuxième. Le seul « boss » coriace ici est un lycaon géant, le « super-Lycan », dont le deuxième affrontement contre Selene dans le parking (le premier dans le repaire des vampires étant expédié) sera de loin la meilleure scène d’action du film, et sa mise à mort le seul instant réellement jouissif (-« Je cicatrise instantanément » -« J’y compte bien »). Brad Martin, chef cascadeur sur le premier opus, n’a pas eu grand-chose à faire ici en tant que réalisateur de seconde équipe, pas plus que ce bon vieux Richard Cetrone (le Big Daddy Mars de Ghosts of Mars), qui endosse de nouveau un costume.

Selene badass

Au niveau des effets spéciaux, Underworld : nouvelle ère fait là aussi moins bien que les autres films, mais il faut préciser que nous n’avons pu voir le film en 3D (elle n’était pas encore finalisée) et que certains effets passeraient sans doute beaucoup mieux dans ces conditions, d’autant plus que le film a été tourné dans une vraie 3D stéréoscopique. Autant le super-Lycan est impressionnant (ses interactions avec Selene sont crédibles), passant par des transformations très efficaces (et en un seul plan), autant d’autres CGI sont plus que moyens pour une telle production. La réalisation est loin d’être aussi dynamique que chez Len Wiseman, qui pourtant n'était pas franchement un virtuose. La particularité d'Underworld : nouvelle ère, c'est qu'il est le premier film tourné avec la RED Epic, une caméra spécialement conçue pour la 3D et dont The Amazing Spider-Man, Bilbo le Hobbit et Resident Evil : Retribution démontreront les capacités en 2012. Le rendu est clinquant, ça ne manque pas d’élégance, la qualité des ralentis impressionne, le chef opérateur Scott Kevan a fait du bon boulot (comme sur Cabin fever, Course à la mort, The Losers, Tamara, Hell Ride, Borderland et The Darkest Hour) et les images sont léchées, dans des teintes gris-bleu métallique très déshumanisantes (pour un film de vampires, c’est logique), mais la mise en scène semble totalement figée, ne prenant aucun risque si ce n’est des poses/cascades à la Paul W. S. Anderson dans un Resident Evil. Par ailleurs, c’est presque trop net et trop propre pour un film de vampires et de loups-garous, des bestioles pourtant voraces et carnassières : on est loin de l'énergie et du craspec des épisodes précédents.

Underworld4 transformation

Toujours aussi belle mais devenue plus rare sur les écrans, Kate Beckinsale reprend le rôle-phare de sa filmographie, qui l’a imposé comme l’une des rares action-woman du cinéma fantastique récent (elle avait d’ailleurs un rôle similaire dans le Van Helsing de Stephen Sommers) en même temps qu’une incarnation fantasmatique du genre Girls with gun (voir une nana mitrailler avec des gros flingues et cogner du mâle, ça fait toujours plaisir). Sexy dans sa combinaison en latex (d’où quelques délicieux plans sur ses fesses moulées), remettant régulièrement son long manteau de cuir avec une majesté excessive (et donc au ralenti, encore), toujours athlétique et partante pour exécuter combats et cascades, la Belle, qui est aussi la Bête, assure toujours le show malgré le piètre traitement que subit son personnage. Hormis cette brunette fatale, tous ont l’air éteint dans cet univers creux et sans saveurs.

Prétextant l’immortalité de Selene et de sa fille, les producteurs veulent encore de nombreuses suites, mais le score timide au box office (malgré un bon démarrage) de ce quatrième Underworld, et ce malgré le retour de Kate Beckinsale (qui, hormis cette saga, n'a jamais été très bankable, en témoignent ses derniers films), pourrait mettre le holà à ces ambitions mercantiles. L’aseptisation high-tech de Underworld : nouvelle ère ne se vend pas aussi bien que l’esthétique gothique, horrifique et heroic-fantasy des précédents (dont le point fort était justement la production design), dont on espère que le cinquième retrouvera le charme bis, le fun et la générosité. On s'attendait au meilleur de la saga (c'était pourtant facilement à portée de main), on a finalement le moins bon. Pour une fois, on regrette que Len Wiseman ne soit pas à la réalisation...

Underworld4 affiche US

La conclusion de à propos du Film : Nouvelle ère #4 [2012]

Auteur Jonathan C.
45

Avec cette nouvelle ère, Underworld 4 promet de nouvelles règles, de nouveaux personnages, une histoire entièrement nouvelle et un nouveau souffle, mais ce n’est que du réchauffé qu’il nous sert. Alors que les trois précédents films, au demeurant sympathiques, empruntaient à l’héroic-fantasy et assumaient pleinement l’esthétique gothique kitsch et les quelques débordements gores, Underworld : nouvelle ère enlève tout ce qui faisait leur charme bis un brin désuet pour se placer en thriller SF pépère et lisse qui ne fait guère évoluer une mythologie jusqu’ici assez riche, bien que pompeuse (du bis, quoi). Boostées par une technologie de pointe, les jolies images toutes propres peinent à élever ce spectacle avare en bourrinages (seul le dernier combat mérite le détour) et en effusions sanguinolentes (pour un film de vampires et de loups-garous, ça la fout mal) qui finit par ressembler à un Resident Evil de Paul Anderson. Il n’y a aucune inspiration dans la prod design, et la mise en scène ne parvient jamais à retrouver l’iconographie ludique des précédents volets. Ne reste que la toujours aussi belle et classe Kate Beckinsale, qui se bat dans le vide mais le fait avec une conviction que personne d’autre ne semble avoir autour d’elle.

On a aimé

  • Visuellement très propre
  • Le Lycan géant et sa fight contre Selene
  • Kate Beckinsale en cuir et latex

On a moins bien aimé

  • Peu d'action et c'est mou
  • Du sang timide
  • Une mythologie qui n'évolue pas
  • Tout est fade (musique, décors, personnages...)
  • Plus d'aspect horrifique ou d'heroic-fantasy

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