Terminator 3 [2003]
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Impatience Bientôt

Dix ans ont passé depuis "Le Jugement dernier". Désormais âgé de 22 ans, John Connor vit dans l'ombre, sans foyer, sans travail, sans identité. Mais les machines de Skynet parviennent à retrouver sa trace. Ils envoient alors vers le passé la T-X, une androïde nouvelle génération quasi-invulnérable, capable de disparaître, de se métamorphoser ou de devenir de la pure énergie, pour éliminer le futur leader de la résistance humaine mais également Kate Brewster, une jeune vétérinaire. Un autre Terminator, le T-101, est venu protéger la vie de John Connor. Ensemble, l'homme et la machine vont mener une lutte acharnée contre la T-X : de l'issue de ce combat dépendra le futur de l'humanité...

Bande annonce de Terminator 3

La bande annonce de Terminator 3 est disponible en version française et en streaming vidéo. Cette bande annonce vous permettra d'avoir une preview de l'histoire et du style du film.

Photos & Affiches de Terminator 3

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Casting de Terminator 3

Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

Personnages de fiction de Terminator 3

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Commentaires des membres (28)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 10
    superproduction americaine ou l'on trouve un scenario et un Arnold tous deux essoufflée et une avalanche d explosions toutes aussi previsibles les unes que les autres...
    on regrette de payer pour ca ...
    jOe.tm
    le 6 août 2003 16h22
  • 100
    ca dechire grave
    gigio
    le 6 août 2003 19h01
  • 30
    Vous confiez un projet a un architecte..il vous fait la tour eiffel! Vous renouvellez l'offre a un autre..il vous fait la pyramide du louvre! Y a pas photo, le génie on ne l'a pas sur commande. Le projet aurait du etre fait qu'avec Cameron (Terminator 2 et 1)ou pas du tout. Reste un film d'action sur lequel on met l'estempille "Terminator" mais la magie est absente
    lolo
    le 7 août 2003 04h57
  • 30
    Bon en gros on a deux parties.
    La premiere c'est le deux c'etait bien, alors on refait la meme chose. Je suis désolé mais je vois pas ce qui change. Bon d'accord il y a plein de voiture, un gros engin qui détruit tout, 2 Terminators qui s'affrontent ... Moi ca m'impressionne pas il me faut plus que ca.
    La deuxieme partie, ca change un peu, on rentre dans T3, le film commence, on a Arnold qui se met a parler. Alors la pratiquement tous les mots qui sortent sont à retenir, c'est memorable ; enfin bref c'est du langage Terminator, ex :
    -Pourquoi tout ca ? Pourquoi moi ? Pourquoi ?
    - Parce que tu es John Connor.
    Autrement à part ces dialogues, c'est classique, rien de mémorable. Je trouve que seul Arnold sauve l'honneur du film.
    L'Epistolier
    le 7 août 2003 07h20
  • 90
    Contrairement à la majorité des critiques précédemment postées, je porte un regard admiratif sur ce film. Jonathan Mostow a réussi un coup de maître ! Il a su se détacher de la réalisation inimitable de Cameron, tout en inscrivant définitivement SON film dans la légende (et surtout la continuité) de la saga.
    Terminator 3 devrait être accueilli comme La Menace Fantôme a été accueuilli :
    - Les fans l'encenseront.
    - Les prétendus puristes regretteront de ne trouver que de brèves allusions au travail de James Cameron et continueront à poser les deux premiers opus sur un piédéstal.
    - D'autres, dont je fais partie, cmprendront qu'ils faut accepter ce film, comme un film de transition. Terminator 3 introduit un nouveau cycle dans l'univers du Terminator. Le film est court, abrupt, vif et plonge directement le spectateur dans une nouvelle dimension. Voila comment tout à débuter !
    Terminator 3, n'est qu'une introduction, il nous prépare à ce qui fait rêver tout fan de Terminator qui se respecte depuis des années : nous dépeindre la fameuse guerre.
    Et avec sa patte, son orchestration des scènes d'action et sa maestria dans ses choix narratifs, Mostow a su nous tenir en haleine et nous mettre l'eau à la bouche. Maintenant que l'appétit est venu, il ne lui reste qu'à tenir sa promesse et nous proposer une suite digne de ce nom !
    Yann du magazine CinéFilm(s)
    Le mec de CinéFilm(s)
    le 7 août 2003 10h35
  • 90
    Que dire de ce Terminator 3 ? Hé bien je trouve que c'est une grande réussite. (quelques légers spoilers dans la suite)

    J'avais un à priori positif depuis la sortie du film aux US et ses échos trés positifs (alors qu'avant je m'attendais au pire), et je dois dire que malgré mes craintes, je n'ai pas du tout été déçu et le film a somme toute répondu à toutes mes attentes.

    Ca commence fort par un speech trés fort de John Connor, agrementé de superbes images du futur et de la fin du monde et qui à ma grande surprise ne me fait pas regretter l'absence du générique musical comme dans les deux premiers opus. Et aprés les Terminators arrivent... et ça n'arrête plus !

    Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'action ne manque pas (à commencer par une superbe course poursuite avec le T-X et Schwarzy absolument haletante). Tout cela est bourrin à souhait; et on ne s'ennuis pas une seule seconde.

    Néanmoins le scénario n'est pas en reste; évidemment c'est le même modèle que les deux premiers Terminator, mais il y a un autre aspect de l'histoire des plus intéressants (d'où le titre "Le Soulèvement des Machines" ). Tout cela est trés bien traité, les personnages bien développés (mention spéciale à John Connor) et il développe (sans trop en faire non plus) un thématique intéressante sur la destinée et la fatalité. Les liens avec les premiers Terminator sont nombreux et somme toute logique (on note aussi de bien poilantes références); même si on notera tout de même une réelle incohérence puisqu'il est dit que John avait 13 ans dans les évenements de T2 alors qu'il été censé en avoir 10 (ok c'est mineur mais bon ). L'humour est présent également mais il n'est pas déplacé (aprés tout T2 en avait une bonne dose également).

    Niveau acteur, Scharzy est en pleine forme (et dire qu'il a 56 ans !!!), et la T-X en jette également. L'actrice a une certaine présence, et la machine en elle-même est trés intéressant . La palme reviendrait plutôt à Nick Stahl, excellent en John Connor (et même s'il ne ressemble pas vraiment à Edward Furlong; ça passe trés bien).

    Sinon ben la mise en scène est superbe; par contre je pinaillerais un peu sur les effets spéciaux, par moment perfectibles au niveau des incrustations (oui je suis chieur, mais le film a couté 170 Millions quand même ). L'ambiance différe quelque peu des deux précédants - ce n'est guère étonnant vu le changement de réalisateur et le nouveau compositeur - mais au fond ce n'est pas une mauvaise chose.

    Sur le plan musical c'est plutôt réussis, même si je regrette l'absence du thème de Terminator durant tout le film (à part le générique de fin) et certains passages par moment trop "silencieux" musicalement parlant.

    Niveau reproche pas grand chose, le film aurait peut être gagné a être un peu plus long - mais aprés la longueur n'est pas un gage de qualité. Sinon le film laisse aussi l'impression à la fin de n'avoir quelque part assister qu'à un prélude pour Terminator 4 (un dernier chapitre au demeurant définitivement indispensable aprés celui là)

    Bref j'ai adoré ce Terminator 3 et j'attends T4 avec impatience (en espérant qu'il se fasse !). Je dirais que c'est pas tout à fait du niveau de T2; mais c'est en tout cas un excellent film; et je pense que le film n'aurait pas put être mieux (sauf si Cameron avait été à la barre - et encore).

    -Sergorn
    Sergorn
    le 7 août 2003 16h22
  • 100
    le meilleur film à voir sur grand écran
    (la bande son est extrordinaire)pour les amateurs d'actions il n'y a pas mieux!!!
    accrochez vos ceinture!!!!!!T3 est un chez-d'oeuvre du divertissement pur!!!

    Bravo john!!!!!
    ty
    le 7 août 2003 21h16
  • 70
    La critique est facile, l’art est difficile : « Whatever you do, something terrible has to happen ! » Je viens de voir « Terminator 3 : le Soulèvement des Machines » et je souhaite bien sûr vous donner mon avis. En 1991, T2 m’avait littéralement subjugué de par la qualité de ses effets spéciaux (révolutionnaires pour l’époque), en plus d’un scénario-béton beaucoup plus optimiste. Si ma mémoire est bonne, le deuxième opus de James Cameron avait généré quelque 6 millions d’entrées en France et avait continué d’alimenter la chronique des années après sa sortie. Depuis plus de dix ans qu’une suite était annoncée, je suis allé voir T3 à froid, sans trop y croire. Eh bien, je puis vous dire que le millésime 2003 est un excellent film d’action, bien qu’il n’atteigne pas l’intensité dramatique des deux premiers. L’histoire reprend pas mal de clichés aux premiers films (la scène de l’habillage, le vol des véhicules, la fuite dans le désert, certaines répliques amusantes…) tout en apportant quelques éléments d’originalité. Moi qui me demandais comment les producteurs parviendraient à faire une rétrospective de la saga sans tomber dans le piège des flash-back, ils ont l’excellente idée de nous présenter un monologue tenu par John Connors! L’apocalypse annoncée n’a pas eu lieu mais le héros, méfiant, ne baisse pas sa garde ! De mémoire d’homme, la scène de poursuite de la camionnette par les véhicules d’intervention et la grue est probablement la plus spectaculaire qu’il me fut donné de voir au cinéma. La Terminatrice possède en outre l’incroyable faculté de télécommander les voitures à distance (lorsqu’elles sont sous contact) et l’idée d’une armada automobile est bien exploitée dans le film. Les effets spéciaux sont excellents (les explosions nombreuses et assourdissantes, les robots tueurs bien animés, certaines trouvailles vous feront froid dans le dos, la valse des missiles vous clouera sur votre fauteuil) mais ils ne donnent toutefois guère l’impression qu’il s’agit du film le plus cher de l’histoire (150 millions de $ semblent exagérés, à moins qu’ils ne comprennent surtout le cachet des vedettes).

    Au niveau de la distribution, Arnold Schwarzenegger reste impeccable dans son rôle de Cyborg T-8000. Ce dernier n’est plus le méchant tueur de T1, ni le gentil protecteur de T2 mais une espèce d’hybride indéterminé en ceci qu’il prétend être un méchant reprogrammé. N’oublions pas non plus que cette troisième réplique provient d’un futur alternatif dans lequel le Jugement Dernier a été retardé à défaut d’être annulé. L’ambiguité du personnage n’est pas sans me rappeler Helen Ripley dans Alien 4 : on s’imagine cotoyer le même être alors qu’il s’agit d’un clone plus ou moins envoûté par les Aliens. Au passage, ce T-8000 nous apprend qu’il a tué John Connors en 2032 juste avant d’être converti à la cause des Résistants. L’acteur Edward Furlong, renvoyé pour cause d’alcoolisme, a été remplacé par Nick Stahl sans que le récit ne perde en crédibilité. Quant à Linda Hamilton, absente de l’aventure (Sarah Connors serait morte d’une leucémie en 1997), son fantôme semble transmettre le flambeau à Claire Danes alias Catherine Browsters, la future épouse de John. Au début du film, vous serez ravis d’apprendre que John et Catherine se connaissent pour avoir été d’anciens camarades de classe de collège. Or, leurs retrouvailles, quoique purement accidentelles, précèdent de quelques minutes l’arrivée des machines venues du futur. L’irruption de ce personnage secondaire est inédit dans la saga mais son rôle demeure parfaitement viable d’autant qu’elle n’est pas le genre de nana américaine qui alourdit, comme bien souvent, les histoires. Bien au contraire, elle se découvre un bel avenir de Lieutenant en Second et nous sursautons en apprenant que c’est elle-même qui a reprogrammé le troisième Terminator dans le futur! Ne soyons pas misogynes et saluons également la performance de Kristina Loken qui interprète la Terminatrice. Son personnage est effrayant à souhait, bien qu’il n’égale pas la cruauté du T-1000 (jadis incarné par Robert Patrick, reconverti dernièrement en Agent Duggets dans « X-Files »).

    Au final, nous obtenons un film réussi (le plus marquant de l’année pour le moment) mais qui souffre principalement d’être trop court (1h49mn). L’absence totale de James Cameron y est peut-être pour quelque chose (par exemple, nous n’avons droit à aucun flash-back de la guerre dans le futur). Le film se termine juste avant l’anéantissement total de la race humaine, sans même que l’on ne voit cette résistance se constituer. Dans T1, la vision nocturne des résistants périssant sur le champ de bataille était à vous glacer le sang. Dans T2, elle nous plongeait immédiatement dans l’ambiance post-apocalyptique géniale. Dans T3, la seule image patriotique que nous ayons semble uniquement puisée des cauchemars de John. Toutefois, les monstrueux engins volants de T2 refont leur apparition sous la forme de minuscules prototypes qu’il n’est plus nécessaire de présenter . On se demande d’ailleurs de quelle façon ils ont été construits, puisque les informations contenues dans le bras du premier Terminator avaient été détruites. D’autre part, le scénario de T3 souffre d’au moins 2 grosses incohérences, malheureusement souvent répétées : tout d’abord, John Connors est né le 28 février 1985 (voir T2) et ne pouvait pas avoir 13 ans dans T2 puisque l’action de l’Episode 2 se déroule en 1995. Toujours dans T2, le psychiatre présente Sarah à ses confrères comme une jeune femme de 29 ans, donc née en 1966. Conséquemment, sa date de naissance 1959 inscrite sur le caveau funéraire est tout naturellement erronée. Quant à l’année de déroulement de T3, il semble que nous soyons en 2008 car John approche les 23 ans. En ce qui concerne les hypothèses d’univers parallèle et de futur modifié, de nombreux doutes subsistent et je sais que vos questionnements ne manqueront pas d’affluer sur le forum de www.terminator3.com . Selon moi, il n’y aura pas d’avant et d’après T3 en matière d’effets spéciaux mais probablement une suite au niveau du scénario. Et dès que le DVD « Rise of the Machines » sera commercialisé, comptez sur moi pour me jeter dessus.

    Pour finir, ce n'est qu'une idée comme ça mais, en cas de reuf s'Arnold pour tourner T4, ne peut-on pas imaginer que John ait pour protecteur un T-1000 ou une THX qu'il aurait rallié(e) à sa cause?
    Frédéric BELMONT
    le 9 août 2003 03h57
  • 70
    Heureuse surprise que ce TERMINATOR 3, j'avais des inquiétudes quant à la capacité de ce film à être convainquant surtout en l'absence de James Cameron .Eh bien il faut croire que la franchise de Terminator est pleine de ressources car même si le film perd au niveau qualité scénaristique il est tout de même brillant.Nick Stahl est un très bon John Connor et Schwarzennegger est égale à lui même en tant que Terminator c'est à dire à la fois impassible et bourré d'humour.
    De plus concernant les effets spéciaux et contrairement à cette bouse infame qu'est HULK, les effets spéciaux se tiennent et les scènes d'actions sont brillament faites(la longue scène de poursuite en voiture est époustouflante.)
    Claire Danes dans le rôle de Katherine Brewster est elle aussi très bien elle rapelle comme le dit si bien dans une scène Nick Stahll Linda Hamilton sur certains aspects à la fois fragile (T1) et femme forte (T2).
    Enfin Kristina Loken est géniale et s'inscrit dans la tradition des Terminators (comme Robert Patrick en son temps).
    Bref, Nick Stahl fait oublier Edward Furlong; Schwarzy est égale à lui même et Claire Danes est aussi bien que Linda Hamilton , reste la réalisation de Johnathan Mostow qui est réussite même si au détour de certaines scènes on ne peut s'empècher à ce qu'aurait donner ce film réalisé par James Cameron.
    Mais bon, les absents ont toujours torts mais reste que ce film est une réussite (bravo aussi aux scénaristes.)
    A voir donc avec plaisir.
    darkside
    le 9 août 2003 13h06
  • 80
    Ah magnifique!!!!
    Shwarzy is really be back!

    On dit shwarzy essouflé et ben moi je ne trouve pas du tout, il reprend son rôle à merveille, à croire que c'est réelement un produite Cybernetique.

    Bon certes on reprend du 1 et du 2 en on melange, et là je m'esclaffe face au mauvaise critiques des fans.
    Ptdr, ils n'ont rien compris à T2 alors!!!
    Erf T2 est autant une suite qu'un remake du 1( Cameron l'avait dit).
    Et bien T3 respect aussi la règles.
    Donc là rien d'innormale et là stupeur on peut pas stopper Skynet, c'est une fatalité.
    Le film mannie mieux l'humour grace à la parodie de scène du 2 avec le coup des vetement qui est incontournable dans chaque Terminator.
    "Elève tes vetements"
    Et la parodie des lunettes en sortant du "Ladies Night" et dans le magasin quand il se prend une paire de lunette dans le magasin.
    Et un "Hasta la vista" fait bien pale figure face à un "Parle à la main veux-tu".

    Des cascades epoustoufalantes," Tin mais qu'est-ce que vous trouver à cette pouriture de Taxi 1,2,3.
    Là les cascades c'est du grand art dans ce T3, quoi de mieux qu'une course poursuite avec une grue, une moto et camion de pompier.

    Bon les points faibles et oui y'en a comme dans T2, certaines incohérences Skynet est détruit dans T2 donc normalement pas de retour de terminator, pour moi "le jusgement dernier n'à été que retardé" ça me suffit pas!
    Le coup du père de Kate qui est en fait le liens durant tout la série passe mais ne suffit pas.
    Dernier point faible dernière phrase que dit le Terminator(du mon dans la version tabernac) "tu es terminé" ça fait trop l'effaceur "vous avez été effacé".

    Gros point fort pour moi , même si je l'ai dénigré plus haut c'est incohérence skynet qui en fait me pousse à me triturer le cerveau, et enfait c'était le virus qui prenait le controle de Skynet hin?


    Dans ce cas on aurrait trois création de Skynet la première celle avant l'arrivé du premier T-800, où John gagne la guerre dans le futur et kyle n'est pas son père , le jugment day ce fait en 2004 comme dans T3(du moin on peut le voir comme ça explication dans la suite).

    La deuxième comme il y a le bras et la plaquette du 1er Terminator la création de Skynet est avancé et le jugement dernier aussi en 1997 (t2 se passe en 1995).

    La troisième création de Skynet, comme dans T2 il détruise cyberdyne on peut penser que le jugment day revient à l'initial donc en 2004, mais là y'en en plus l'ambiguité du virus, Skynet détruit le virus et prend le controle des sytèmes militaire où c'est le virus qui prend le controle de skynet et qui controle les sytèmes militaire.



    Bon bref j'espère que vous aurrez compris ce que j'ai tanter de vous dire, et IL FAUT ALLER LE VOIR!!

    Et en attendant T4 qui est en discution mais c'est pas simple désormais pusique Shwarzy ce lance dans la politique, j'espère qu'il arrivera à allier les deux.
    Paskeu y'a aussi "Le Roi Conan" à tourner, (réalisé par les frère Matrix Wasosky).

    Pour l'instant T4 c'est "Governator de Californie" sa mission est de renflouer les caisse de son Etat!
    Sango-Fett
    le 10 août 2003 11h40
  • 10
    Je suis vraiment désolé d'avoir fait ce film .Mes concepteurs m'avais programmer pour etre un méchant ,un cyborg qui ne parle que pour atteindre son but .Là mon programmes a tellement été changer que des bugs enormes me font parler de trop .Peut etre est-ce parceque c'est la future femme de Connor qui m'a reprogrammé .
    Quand Cameron a vu le scénario il a vomi .Quand j'ai vu mon film moi aussi .
    Dés les premières images dailleurs .
    Contrairement à mes deux premiers le TIII ne m'a pas beaucoup usé l'endosquelette .Tout est fait par d'autres machine que moi .Des machines de bureaux celle-ci .Meme les camions et autres hélicos ont été digitallisés pour faire croire à des vrais aux humains naïfs .Ca se voit tellement que ça en est risible .Il ont beau eu le cacher en faisant du very short cut - les plans d'actions ne durent pas plus de 2 sec avant de passer a un autre- ça se voit toujours .Heuresement que les plans close up des acteurs vivants etaient tres serrés comme sur les feux de l'amour , pour voir que ces mêmes acteurs regardent la caméra .Quant a mon neuroprocesseur censé apprendre il a du etre overclocqué trop lourd car je n'ai toujours pas compris que j'ai beau balancer 15 fois la termitrice dans les chiottes , la rouller sous tros ( faux ) camions , 1 hélico ça ne sert a rien .Elle se recompose ad vitam etrenam la salope .Quoi que à la fin elle est dans le bunker avec bunny Connor .
    Et là bizarrement elle se releve pas .
    Désolé que je doive me présenter aux élections apres cette daube grotesque .
    Je crois que je vais gagner les Américains sont tellement patriotiques .
    Dailleurs au début le drapeau censé représenter le reste des rescapés de l'humanité n'est il pas celui du mensonge de la bêtise et de la cruauté ?
    Désolé que vous ayez payé si cher votre place et que vous ayez perdu 2heures de votre vie que vous ne récupèrerez jamais .
    Bon je vous quitte je dois aller vidanger .
    ASTA LA VISTA PAJEROS
    terminator
    le 11 août 2003 10h37
  • 30
    Génial qu'il est ce mec dans sa vie, sa carrière de bodybuilder puis sa carrière cinéma...
    Que je l'attendais ce film, après le chef d'oeuvre qu'est T1 et la réussite qu'est T2...
    Arnold, mon idole, tu m'as déçu et je ne ferai pas tes éloges sur ce coup-là, ton film étant moins que médiocre...
    On ne change pas une équipe qui gagne, mais il faut savoir s'arrêter quand il est temps...

    J'ai plus apprécié la course au jouet ou un flic à la maternelle...

    Il ne se passe rien d'exceptionnel et on reste sur sa faim
    oliverkiller
    le 11 août 2003 15h00
  • 20
    Je suis parti avec beaucoup d'appréhension (le changement de réalisateur et de compositeur, la bande annonce pas réellement attrayante, un schwarzy vieillissant)...
    et j'ai eu raison.
    Dans ce nouvel opus rien de nouveau, à part l'humour beaucoup plus présent ,qui a le mérite d'être parfois réussi, mais qui termine par décrédibiliser totalement notre bon vieux T800 .
    L'histoire n'apporte rien et n'est qu'un prétexte qu'au 4ème épisode.
    L'action prédomine et fini par lasser surtout que cela prend dès le début.
    Il est certes amusant de retrouver des clins d'oeil mais là il y en a de trop, on termine par se retrouver dans une version faite par un fan et non par un véritable réalisateur.Mostow a voulu égalé Cameron mais il s'est brûlé les ailes.
    la musique est quant à elle quasi inexistante( mais où l'ambiance stressante et le suspense du premier et surtout du 2 !!)
    Bref cet épisode devient finalement une véritable autoparodie et dégage une certaine puanteur mercantile: action, violence, effet spéciaux, scénario zéro et fin en suspension pour préparer un nouveau film et se faire beaucoup beaucoup d'argent ...
    On comprend bien pourquoi Cameron a refusé d'aller plus loin.
    konda
    le 12 août 2003 10h56
  • 80
    bon ok T3 n'est pas T2 !!! Cameron n'est plus la, ca se sent un peu au niveau de l'ambiance, plus rock'n'roll dans T2. Mais bon ! il faut prendre T3 comme un nouveau film et arreter de le comparer à ses prédécesseurs : le film est efficace, les scènes d'actions d'enfer, et les acteurs ne gache pas trop le décor. Le TX est très bien mais le réalisateur aurait du lui poser plus de limites dans sa puissance, comme le T-1000. Pourquoi récupère t-elle un flingue alors que son bras balance du plasma ???? Sinon, il vaut le coup, pour sûr !!!
    phantoom
    le 20 août 2003 05h38
  • 10
    Pas de respect du personnage, scènes d'actions reprises des deux opus précdents, intrigue plate, trop de pan-pan boum-boum et pas d'histoire, une photographie ignoble, aucune atmosphère on se croirait dans une série de M6, d'aileurs le dernier décor est pathétique avec les rochers en carton pâte façon Star Treck. Quant à la fin du T machin ne cherchait pas ce sont les mêmes plans que dans le 1...BEURK
    jojo
    le 21 août 2003 03h23
  • 80
    Intrigue plate et pas d'histoire...les décors...

    Parce que jojo le photographe, il a été impressionné par le scénario de T2 et les décors de T1 peut être?

    Par ailleurs, j'ignorais que M6 dépensait autant d'argent dans ses séries...

    Nan sans rire. Ce film ne s'adresse pas aux personnes cultivant un semblant d'activité intellectuelle. Point barre...

    PS: Un excellent film de par la distraction qu'il procure et bien fait, qui plus est. A voir.
    ;-)
    Dove
    le 25 août 2003 12h57
  • 90
    Or, donc, ce film était attendu et redouté. Douze ans, putain de bordel, qu’on attendait de savoir si les machines prendraient en définitive le pouvoir. Il est vrai qu’elles ont eu le temps de s’incruster dans notre société : réseau Echelon, bug de l’an 2000, échec du référendum sur la Corse, et un modèle obsolète du T-800 devenu candidat au poste de Gouverneur de Californie. Néanmoins, l’attente a pu être longue. Et le résultat est là. Une véritable claque.


    1) Les agents du chaos

    Ze story ? Elle commence effectivement douze ans après que John Connor et sa maman Sarah (cf. la série anciennement diffusée sur la 5) ont précipité dans une cuve de métal en fusion les premiers éléments électroniques qui constitueraient à l’avenir l’embryon du super-ordinateur Skynet, le méchant le plus sanguinaire de l’histoire du cinéma – puisque explosant le record détenu par le Grand Moff Tarkin dans Un nouvel espoir avec la destruction d’Alderaan.

    L’holocauste atomique annoncé pour le 29 août 1997 n’a finalement pas eu lieu – ce qui n’a pas sauvé la vie de Lady Di, décédée deux jours plus tard, abattue par Lucasfilm pour avoir dérobé le scénar’ de La Menace fantôme. Et John Connor demeure un parfait inconnu – quoique encore obsédé par des visions récurrentes d’un avenir possible – baptisé futurible par divers paranos de la SF – dans lequel les machines mènent une guerre génocidaire à une humanité presque anéantie par les raids nucléaires télécommandés par Skynet. Maman Sarah est morte de leucémie, John est livré à lui-même et s’efforce de rester dans le secret le plus absolu pour échapper à tout référencement informatique susceptible de renseigner un éventuel parent technologique de son ennemi mortel.

    Et sur ce, apparaît le T-X (Kristanna Locken), un cyborg de type femelle, envoyé du futur, chargé de l’abattre, lui, ses futurs lieutenants, et une certaine Kate Brewster, jeune vétérinaire qui s’avère être la fille d’un général en charge du projet militaire d’intelligence artificielle autonome baptisé… Skynet. Puis déboule le sauveur, en l’occurrence Arnold, lequel fait ce qu’il peut pour contrer une tueuse aussi bonne que bonne tout en étant porteur d’une terrible révélation : loin d’avoir empêché l’Apocalypse, John et maman Sarah (loués soient son âme et son Uzi) ne l’ont que retardé. Les militaires, irresponsables mais pas cons, ont réussi à reconstituer Skynet et s’apprêtent à lui donner les commandes de toute la défense stratégique américaine pour contrer un salopard de virus qui fait rien que mugir dans nos campagnes cybernétiques. La fin du monde est prévue pour aujourd’hui : les missiles quitteront leurs sites de lancement à 18 h 18. John et Kate n’ont plus que quelques heures pour sauver la planète. Car en l’occurrence, le projet de Skynet est moins humanitaire et beaucoup plus expéditif que celui conçu par la Matrice, tout en subtilité compliquée mais paraît-il rentable sur le plan énergétique…


    2) Point d’équilibre

    Au vu du surprenant – mais parfois relatif – succès critique remporté par T-3 tant aux Etats-Unis qu’en France, l’on pouvait s’attendre à un bon film. Certes, pas aussi abouti que le précédent, encore marquant pour avoir été l’un des premiers films à user de ces effets spéciaux si galvaudés de nos jours, sans parler de son scénario sans faille doublé d’une mise en scène à l’esthétique soignée et glacée. L’on pouvait également craindre que la réussite de T-2 ne nuise à T-3, en ce qui ce dernier aurait constitué une suite daubique, privée à la fois de James Cameron et Linda Hamilton.

    En définitive, la première impression s’est avérée justifiée. Car T-3 demeure ZE bonne surprise de l’été – en dépit de films magnifiques tels que Sinbad. La Légende des Sept Mers. Là où Matrix Reloaded a souvent déçu, T-3 constitue une suite qui ne prétend certes pas être à la hauteur de l’œuvre de Cameron, mais comble néanmoins toutes les exigences du spectateur. Le réalisateur, Jonathan Mostow, déjà connu pour U-571 (l’histoire de ce sous-marin allemand dérobé par les Américains en 1944 et qui coule en moins de deux heures 17 cuirassés, 32 croiseurs, 154 destroyers nazis, avec une seule torpille), nous a concocté un de ces films rarissimes équilibrant à la fois l’action (bourrin), le suspense (tueur), l’histoire (sombre), l’humour (parodique bienvenu) le jeu des acteurs (à la hauteur).

    Premier élément du succès : le scénario. Et ce scénario est bon. Ingénieux, machiavélique, ne nous ménageant aucun répit, basé sur des prémisses crédibles (les dysfonctionnements de l’électronique, à même de provoquer pas mal de catastrophes au sein d’une société qui repose de plus en plus sur le virtuel et la simplicité technologico-informatique), il nous amène une dose monumentale de scènes d’action remarquablement tournées, lesquelles n’ont strictement rien à envier aux plus grands délires de la saga Matrix. L’on songe en particulier à cette course de bagnoles proprement démente, tant l’on peut s’apercevoir que Mostow a pris son pied dans cette glorieuse séquence de destruction gamine et jouissive – et il n’est pas le seul à s’éclater, les poteaux, les routes, les immeubles, et accessoirement le spectateur, aussi. Preuve, décidément, du savoir-faire hollywoodien en matière de scènes d’action, et de l’étonnante capacité de certains réalisateurs à innover ou du moins user des mêmes anciennes ficelles avec des résultats toujours aussi orgasmiques – le mot est lâché. Les apparitions de la T-X sont mémorables, source de fabuleux combats et de terrifiantes poursuites. Ajoutons la liste sans fin des meurtres, massacres, tirs par balles, affrontements corporels, destructions de véhicules, de toilettes, d’espèce humaine… Du pur plaisir, d’autant que la BO, signée par Marco Beltrami (le compositeur de Scream et Mimic, et effectivement, c’est reconnaissable), sans être transcendante, est bien foutue – le thème final, profondément mélancolique, parfaitement adapté à la révélation ultime, étant le meilleur morceau d’un ensemble qui peine à se distinguer des précédentes œuvres musicales de la série.

    Les puristes ont pu critiquer, ça et là, quelques incohérences (la date de naissance de Sarah Connor, l’âge de John, la liquidation pure et simple de l’Univers Etendu de Terminator, diverses questions sur la création de Skynet), et une intrigue s’autorisant certaines facilités (par exemple, le trio de héros qui se rend sans difficulté dans une base américaine aussi secrète que la Zone 51 – putain, mais elle fait quoi, la sécurité ?) et qui constituerait plutôt un gros remake de T-2. En effet, au moins dans la première demi-heure, Mostow ne se démarque guère du précédent volet, lequel constitue lui-même un remake du premier opus de la série – faut-il le rappeler, hein… Arnold, modèle dépassé (ce qui lui vaut un constat, tout délicieux de second degré : « Je suis un modèle obsolète ! »), doit sauver John, lequel doit sauver le monde. A se contenter de la surface des choses, l’originalité manque.

    En réalité, T-3 parvient à renouveler la série sans pour autant s’en démarquer. L’accent est mis sur une course contre la montre à la fois haletante et sanglante. Qui plus est, et c’est là une véritable surprise du genre, le film fait dans le politiquement incorrect. Le final, bien sûr, mais ce qui précède également. Voir, après le massacre de Columbine et les raids du 11 septembre 2001, des ados se faire proprement exécuter d’une balle dans la tête, des militaires aussi abrutis, n’est pas sans rassurer sur l’état d’un cinéma capable d’éviter la mythologie Disney dans des blockbusters.

    De même, l’humour – premier ou second degré (assumé) – est-il distribué à juste dose, révélant l’ambition d’un T-3 qui se sait inférieur aux épisodes précédents mais qui poursuit encore l’entreprise parodique (la séquence – inévitable – au cours de laquelle Arnold obtient ses fringues est anthologique). Je ne vous raconte pas le fou rire qui m’a pris à l’apparition clin d’œil du psychiatre de T-1 et T-2, ou lorsque le T-800 balance à un jeune serveur boutonneux de station-service qui lui demande de payer la bouffe qu’il emporte avec lui (faut bien nourrir le sauveur de l’humanité et l’héroïne) : « Parle à ma main ! ». Arnold se plaît à faire ça, recycler les répliques cultes de son histoire cinématographique (dont le fameux « J’ai menti » de ce film si magnifiquement bourrin qu’est Commando).


    3) La voie du destin

    Et pourtant, l’humour ne nuit nullement à une histoire au demeurant fort sombre marquée par des cauchemars nucléaires et l’angoisse de la fin du monde. Le film s’autorise même quelques puissantes séquences d’émotion – ainsi, le final, franchement dérangeant – ou encore les derniers instants de vie du père de Kate Brewster, qui assiste d’abord au mitraillage de sa fille (en fait la T-X métamorphosée) avant de se prendre une balle de la part de cette même T-X et de livrer les coordonnées d’une base secrète dont le sens prendra une valeur autre que celle attendue.

    C’est là qu’il faut mentionner les personnages. Arnold, bien sûr, qui, en dépit de ses 56 ans, est au mieux de sa forme et nous campe un formidable Termintor aussi froid, impitoyable et pourtant cool que dans les précédents films. Kristanna Loken, véritable bombe dans tous les sens du terme, ne parvient certes pas à faire oublier le fascinant Robert Patrick, interprète du T-1000, mais joue de manière suffisamment blindée son rôle de tueuse dépourvue d’émotion – son beau visage de marbre laissant apparaître de ci de là une très belle mais guère décelable moue sadique et tortionnaire. La T-X, cependant, en dépit de ses progrès technologiques, paraît encore plus conne que le T-1000, mais vu le physique et le jeu de l’actrice, on finit par s’en taper complètement, tant ses interventions musclées sont à même de nous déchirer la gueule. Son « John Connor was here. Where did he go ? » prononcé sur un ton mécanique, dépassionné, et cependant lourd de menaces, demeure l’un des grands moments du film.

    Nick Stahl est convaincant dans son rôle d’un John Connor plus mûr, moins vaurien que celui de T-2 (franchement abominable, mais tellement doué), quoique il ne rechigne pas à se shooter aux médicaments censés stériliser les chiens. Néanmoins, c’est Claire Danes qui parvient à leur voler à tous la vedette par son interprétation magistrale de Kate Brewster – la future femme de John Connor. Représentant l’individu commun, « normal » dans ce monde au bord de l’effondrement, elle parvient à rentrer dans son personnage, à la fois fort et émotif, déterminé et non dépourvu de tendresse (et il en aura besoin, le John). Au départ sous le choc à l’annonce de l’extermination imminente de l’humanité, de tout ce qui fonde sa vie quotidienne (laquelle a déjà été pulvérisée par la T-X), elle prend de l’assurance et finit par se montrer encore plus active que le héros lui-même, qu’elle met respectivement en cage, sauve de l’intervention d’un prototype de Tueur robotisé aérien (déjà vu dans T-2 sous une forme plus aboutie) et pilote en avion jusqu’à la base secrète où, la première, elle découvrira l’ultime vérité sur Skynet.

    Ces acteurs et actrices, remarquables, évoluent avec aisance dans cette intrigue qui ne s’épargne pas non plus certaine réflexion pas idiote et moins chiante que dans Matrix sur le destin. Notre avenir est-il déjà tracé ou n’y a-t-il pas de destin que ce que nous faisons, pour reprendre l’expression de Sarah Connor ? Le final, à la fois jouissif et démoralisant, nous apporte une réponse qui aurait peut-être gagnée à être développée.

    Il est vrai que John Connor essaie de lutter contre ce destin inéluctable, l’anéantissement de l’humanité suivi de l’asservissement des survivants, mais il est bien plus souvent l’objet passif de l’histoire. A cet égard, sa mise en cage par Kate au début du film pour s’être incrusté dans le labo de cette dernière, est particulièrement symbolique. Par la suite, il devient le simple « client » de son garde du corps Arnold, et encore, ce n’est pas à John que le T-800 a reçu pour mission d’obéir, mais… à Kate. Et si John survit à la fin du film, c’est grâce à l’information que lui livre le général Brewster, dont on apprendra que telle était la mission : procurer un abri au futur sauveur du genre humain. John, enfermé, traqué, protégé, n’influe en rien sur son propre destin. Sa mort annoncée par le T-800 pour le 4 juillet 2032 constitue le sommet de cette révélation sur le rôle du futur chef de la Résistance. Car John ne contrôle pas sa vie. Elle lui est dictée par un scénario aussi impitoyable que Skynet.


    En bref, T-3 constitue une excellente suite à la saga Terminator pondue par Cameron – une bien meilleure suite que Matrix Reloaded, équivalente au Dragon Rouge de la série consacrée au Dr. Lecter. Solidement interprété, ne se prenant pas au sérieux, le film parvient à doser efficacement la parodie à de superbes séquences d’action bourrin et intenses, et un excellent scénario dépourvu de temps mort (mais qui aurait gagné à être plus étoffé – il est très rare que je regrette qu’un film ne soit pas plus long, car en l’occurrence, comparé aux autres œuvres du même genre, T-3 est très court : moins de deux heures). En d’autres termes, du blockbuster pur, efficace, marrant, époustouflant, et même profond (dingue, non ?). Qu’on aime ou qu’on déteste, c’est un des spectacles obligés de l’été (d’autant que les salles de ciné sont généralement climatisées).
    Dark Cador
    le 30 août 2003 04h02
  • 80
    t3 n'est pas le meilleur de la série, c'est clair, mais malgré tout on passe 1très bon moment grace a de magnifiques scènes d'action a l'ancienne.et arnold,quoiqu'en disent les mauvaises langues,est le symbole meme du héros.
    arnold
    le 17 septembre 2003 14h30
  • 50
    techniquement c'est sur c'est mieux que les 2 premier, le son et les effets spéciaux sont dément, le scénario est moyen comme les 2 premiers mais on s'en contente par contre il manque cette ambiance de T1 qui donne des frissons. La magie n'opère plus, dommage..
    Jyrki
    le 12 octobre 2003 18h54
  • -
    Dans la trilogie des terminator , les trois films sont éfficaces (les 2 premiers terminator sont meilleurs,surtout le premier , que le troisième) et sont fideles au thème de l'histoire: une histoire meetant en scène un monde en danger avec un avenir irrémédiable .
    Dans le terminator 3 ,le casting est très bon ,tous les acteurs et actrices jouent à merveil .De plus ,comparé au terminator 1 (qui reste pour le meilleur terminator) ,il y plus d'humour et encor plus d'action .
    Bref ,un très bon film que je classe dans la catégorie des meilleurs films de sciance-fiction. A NE PAS LOUPER!
    Florise
    le 5 janvier 2004 11h59
  • -
    L'absence de Cameron pour cet opus se fait cruellement ressentir.. mais ce titre reste bon. Je n'ai pas été déçu (à part Claire Danes qui foire).

    Si vous etes fan de terminator, ne ratez pas ce site!:
    http://membres.lycos.fr/terminatorsite/
    johan
    le 11 février 2004 13h00
  • 30
    Il fait beaucoup penser au deuxième volet. Purement marketing (d'où l'idée de mettre un mannequin en cyborg-tueur). De longs passages inutiles pour une fin pas si imprévisible. Attention à l'essouflement...
    tangram
    le 28 avril 2004 04h57
  • 10
    la saga devait se terminer au T2,
    .....
    le 14 mars 2006 08h47
  • 90
    je suis étonné de la réaction, car pour moi c'est le meilleur des trois films, et le deuxième est certainement le plus faiblard dans le scénario, très cliché finalement.Cet opus renoue avec la noirceur du premier, et va même un peu plus loin, puisque la fin nous propose une philosophie de l'acceptation d'une réalité horrible, pour pouvoir y résister plutôt que de la fuir.C'est un peu contradictoire avec la vision mielleuse de Cameron, mais pas moins intéressant, et chose étonnante, les deux acteurs principaux créent une atmosphère intimiste qui, couplée à la réalisation nerveuse,rendent la fin très forte en émotion et en sincérité du propos.Les paysages désertiques utilisés à bon escient font écho à l'univers propre à la"mythologie"Terminator.
    La courte durée renforce la sensation de ne pas assister à une ballade pyrotechnique.
    Même Schwarzy est plus sobre dans son rôle de robot, contrairement au 2 où il en faisait des tonnes dans l'émotion stéréotypée.
    une velle surprise, car j'avais presque condamné ce film avant de le voir.Cela m'a même fait pensé à "la planète des singes"et autres films catastrophe de Charlton Heston
    Jamais203
    le 10 juillet 2006 14h14
  • 20
    2 étoiles et je suis gentil.
    Quoi qu'est ce que c'est que ce film? T3. Ah les machines veulent une nouvelle raclée ah bon? Ben alors ou est le problème?
    - le scénario ne colle pas et est rempli d'incohérences.
    - Le Terminator tueur ne colle pas non plus. Pas assez dangereux ou mordant.
    - les effets spéciaux. Bon alors la c'est le pompom hein. Pas fichus de faire des effets spéciaux non détectables. Quand je pense à Matrix et au seigneur des anneaux sortis 1 à 5 ans avant, c'est hilarant.
    - les acteurs. Bof, bof, bof. Jeu pathétique. voir sans intérêt. Nick Stal fait plus penser à un drogué qu'à un futur sauveur du monde.
    - l'humour: que faire de l'humour dans un film ou colle le désespoir,le pessimisme et le fatalisme?
    Les bonnes idées étaient la mais elles étaient très mal exploitées. Inutile de dire que ce film ne marquera pas le 7ème art comme ces prédécesseurs!
    Xterpredalien
    le 25 octobre 2008 20h57
  • 50
    Stan Winston et ILM sont bien de retour pour s'occuper respectivement des animations et des effets spéicaux, par contre, Cameron n'est plus là et Schwarzenegger se fait vieux (la plupart des scènes où son personnage bouge vraiment sont faites par ordinateur). Le scénario est moins bons, reprenant celui du deuxième film, en moins bien. Quelques passages marrants et pas mémorables, comme certains dialogues. Un troisième opus qui ne s'inscrit pas dans le myhte du cyborg futuriste.
    le Joker
    le 1er novembre 2008 16h19
  • 50
    Après un deuxième volet mercantile, Terminator 3 acheve avec panache une formidable licence. Ainsi T3 ne prend même pas la peine de déguiser sa repompe en proposant quelques nouvelles idées (On remplace le T-1000 par un robot femme et l'affaire est dans le sac). Un film sans imagination qui multiplie les scènes d'action comme on enfile les perles. On s'ennuie ferme jusqu'à la fin, à peine réveillé par une conclusion qui ne nous apprend rien d'intéressant. Le ridicule ne tue pas mais il peut agacer à force. Circulez y'a rien a voir.
    G7K
    le 20 mai 2013 18h36
  • 60

    Après un deuxième volet mercantile, Terminator 3 acheve avec panache une formidable licence. Ainsi T3 ne prend même pas la peine de déguiser sa repompe en proposant quelques nouvelles idées (On remplace le T-1000 par un robot femme et l'affaire est dans le sac). Un film sans imagination qui multiplie les scènes d'action comme on enfile les perles. On s'ennuie ferme jusqu'à la fin, à peine réveillé par une conclusion qui ne nous apprend rien d'intéressant. Le ridicule ne tue pas mais il peut agacer à force. Circulez y'a rien à voir.
    G7K
    le 21 avril 2021 01h51

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