Le cycle d'Ender : Ender: l'exil [2010]
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Impatience Bientôt

À douze ans, Ender Wiggin a sauvé l’humanité de la menace des «doryphores», mais le retour au foyer lui est interdit : les rivalités nationales ont repris et les jeunes prodiges de l’École de guerre suscitent convoitises et craintes. On lui propose alors l’exil vers la première colonie humaine sur une planète prise à l’ennemi, dont il deviendra le gouverneur.Tandis que l’histoire de la Terre se poursuit avec Bean dans les quatre livres de «l’Ombre», Ender entreprend, en compagnie de sa sœur Valentine, un long périple de trois mille ans, le cœur lourd du xénocide qu’il a commis.Chronologiquement situé entre La Stratégie Ender et La Voix des morts – deux livres couronnés par les prix Hugo et Nebula en 1986 et 1987 –, L’Exil éclaire pour la première fois l’adolescence d’Ender et son entrée dans l’âge adulte, ces années de voyage rela­tiviste dans les étoiles où il s’est mis en quête d’un espoir de rédemption. L’auteur y retrouve ses plus belles qualités de conteur.

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Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

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Commentaires des membres (1)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 30
    Ender l'Exil est un livre particulier car se situant entre la Stratégie d'Ender et la Voix des Morts. Ce serait donc le second livre du cycle d'Ender et le dernier du cycle de l'ombre à travers l'ombre d'Achille à la fin du roman.

    La guerre avec les doryphores est achevée, l'humanité à travers Ender a gagné en accomplissant un massacre complet d'une espèce intelligente. Sur ce thème, Card avait avec talent développé deux livres réussis sur la culpabilité et le besoin de créer plutôt que détruire.
    Evidemment, ces thèmes reviennent ici, mais plus au travers des jugements que portent sa famille, la Terre, l'humanité sur Ender Wiggin.
    Difficile d'exister quand on est à la fois un héros et un monstre, voilà un thème très intéressant, mais hélas développé n'importe comment, Card lançant des intrigues avant de les clore sans même les développer.
    Les personnages sont intéressants, mais raconter une histoire qui se déroule pendant le voyage d'un vaisseau est difficile car au final, il ne se passe pas grand chose.
    Une intrigue se montera sur une jeune amoureuse d'Ender et ses relations avec sa mère avant d'être jeté à la corbeille sans approfondir leur histoire.
    De même, il sera question de théatre le temps d'un chapitre et puis basta..! Voilà une construction d'histoire des plus étranges.
    Et puis revoilà Achille et son intrigue qui occupe trente pages et au revoir !!! C'était bien la peine...
    Pourtant, la quête du père, la manipulation par des mères égocentriques, la manipulation des sentiments, voilà trois thèmes forts dont Card dispose dans ce roman jusqu'à ce que patatras...

    Je ne renie pas le talent d'Orson S.Card qui reste un très bon écrivain, mais je ne pense pas que ce livre rende vraiment hommage à son travail.
    Reste le fan-service, mais je n'aime pas ça.
    sephja
    le 8 août 2010 15h07

Informations complémentaires sur Ender: l'exil

  • Titre (France) : Ender: l'exil