Les langages de Pao ► Critiques & avis sur le roman

Critiques du staff sur le roman Les langages de Pao

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Commentaires des membres (8)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 100
    "Son oeuvre la plus connue est le cycle de Tschaï qui, si elle est intéressante du point des quatre civilisations détaillées en long en large et en travers, est très largement surestimée"

    Mort de rire en lisant se genre de pseudo-critique...
    Maurice
    le 18 mars 2008 10h36
  • -
    "Mort de rire en lisant se genre de pseudo-critique..."

    Pareil.

    oman.
    oman
    le 20 mars 2008 10h05
  • 90
    Idiot cette critique, sur les Langages de Pao. Le coeur de ce roman n'est pas le langage, c'est la description d'un complexe qui existe chez tous les hommes de pouvoir, celui de devenir un géniteur universel et exclusif, de se pérenniser à travers le temps et l'espace à travers sa descendance. Voir le mythe du patriarche biblique en vogue chez certaines personnalités masculines qui ont les moyens d'assouvir leurs fantasmes à travers de nombreux enfants avec de nombreuses compagnes officielles ou non.
    Vous auriez dû relire ce livre avant de rédiger votre critique, je trouve curieux que vous n'ayez pas "percuté" sur ces évidences.
    gabriel
    le 4 octobre 2008 19h51
  • -
    On doit être aussi idiot sur le Cafard Cosmique, ActuSF et Noosphère puisque on dit la même chose:

    http://www.actusf.com/spip/article-5752.html
    http://www.cafardcosmique.com/Les-Langages-de-Pao-de-Jack-Vance?var_recherche=langages%20pao
    http://www.noosfere.com/icarus/livres/niourf.asp?numlivre=2146558911

    Va falloir relire le bouquin.

    oman
    oman
    le 6 octobre 2008 10h20
  • -
    Heureux que vous reconnaissiez que l'idiotie n'est pas l'exception chez les humains.
    J'imagine que le "Petit chaperon rouge" expliqué par un écolier, un étudiant, un agrégé et un psychanalyste vous paraitrait moins évident.
    Vance, outre ses autres qualités, est l'un des rares auteurs de SF à s'attacher à décrire des personnages consistants ayant entre eux des relations complexes voire ambigües, mais réalistes. (Planète des Damnés, Emphyrio, le cycle Alastor, etc.)
    Cela dit, après avoir lu tout Vance, en commençant au début des années soixante-dix - et oui ! -, je garde ma préférence pour Emphyrio.
    gabriel
    le 8 octobre 2008 08h47
  • -
    "Vance, outre ses autres qualités, est l'un des rares auteurs de SF à s'attacher à décrire des personnages consistants ayant entre eux des relations complexes voire ambigües, mais réalistes. (Planète des Damnés, Emphyrio, le cycle Alastor, etc.) "

    Je ne suis déjà pas trop d'accord avec les personnages complexes de Vance (spécialement dans le cycle de Tschaï), plutôt doué pour les civilisations extrêmement bien décrites, mais bon, passons.

    Le thème principal des langages de Pao, d'où le titre (sinon on aurait donné la génétique de Pao ou bien de père en fils sur Pao), est bien sur les langages, guerrier, technique et intellectuel (?), ce qui n'empêche pas d'avoir les thèmes secondaires comme la transmision d'un patrimoine génétique.

    Non ? Toujours pas ?
    oman
    le 8 octobre 2008 13h31
  • -
    Plutôt que de transmission génétique,
    je parlerai d'un homme qui veut devenir Dieu ou de volonté de puissance pathologique.
    Quant aux personnages de Vance, ils me paraissent complexes, mais pas face à des grands romanciers. Si on compare ses héros à ceux de ses contemporains dans le domaine de la SF, (1950-1980, Heinlen, Sprague de Camp, Moorcock, Farmer, etc.) cela devient évident. Ses personnages ont le plus souvent un passé, une culture, mais pas systématiquement, je le reconnais. Leurs rapports avec les autres "sonnent vrai". Evidemment, ils se ressemblent : des hommes un peu sombres, astucieux, débrouillards et prudents, mais résolus à atteindre leur but en évitant de se mettre en défaut.
    S'ils côtoient des femmes qui ont du relief, ils finissent par se marier avec une parfaite femme au foyer (Tschai, la geste des Princes Démons, Allastor). Et le message est toujours le même : "Il faut cultiver son jardin", parce que dans le fond ce sont un peu des voyages Voltairiens qu'il nous propose.
    gabriel
    le 11 octobre 2008 07h28
  • -
    l'histoire et les personnages auraient mérité d'être plus travaillés pour en faire un bon roman.

    Non mais c'est qui ce Manu B. pour faire la leçon à un maître du genre ?
    Pathétique....
    Bernard
    le 30 mai 2013 00h10

9 avis sont disponibles pour une moyenne générale de 82 sur 100.