Zardoz [1974]
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Impatience Bientôt

En l'an 2293, après que la Terre ait été dévastée : une petite communauté "les Éternels" ont découvert le secret de l'immortalité. Elle s'est soustraite aux souffrances du monde extérieur et vit à l'intérieur du "Vortex".
Créé en 1990, le Vortex, protégé par un puissant champ magnétique, est situé près d'un lac, au creux d'une vallée fertile.
Zardoz est le dieu des Brutes. C'est un gigantesque masque de pierre qui survole les Terres Extérieures. Craint et respecté, il a été construit par les Éternels afin de soumettre et d'exploiter les Brutes.

Date de sortie au cinéma en France : 13 mars 1974 ► 3 autres dates
Casting principal : Sean Connery (Zed) , Charlotte Rampling (Consuella) ... ► Casting complet
Titre Original : Zardoz
Oeuvre : Zardoz
Thèmes abordés: Science-Fiction , Grands Classiques , Post Apocalyptique

Bande annonce de Zardoz

La bande annonce de Zardoz est disponible en version originale sous-titrée et en streaming vidéo. Cette bande annonce vous permettra d'avoir une preview de l'histoire et du style du film.

Photos & Affiches de Zardoz

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  • Sean Connery
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Casting de Zardoz

Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

DVD / Blu-Ray de Zardoz

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Commentaires des membres (5)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 80
    Je suis toujours extrêmement surpris des commentaires faits à propos du film "Zardoz". Le mien sera direct et simple : c'est une oeuvre aboutie, qui traite du délicat problème de la volonté d'immortalité chez l'espèce humaine, et de la contrainte que cela impose à un seul individu. Que fait cet infividu de la connaissance et des richesses que lui propose sa propre civilisation ? À quelles fins les utilise-t-il ? Qui manipule qui dans cet imbroglio spécifiquement humain ? Accepter le divin et s'intégrer pacifiquement au système politique et ses outils cognitifs, ou bien se révolter, se venger, tout détruire pour tenter de repartir sur des bases saines et crever l'abcès pathologique qui nous empêche de nous épanouir ? Voilà à quoi tente de répondre "Zardoz", et si j'en conviens sur la forme, il n'est pas des meileurs goûts, sur le fond, il compte parmi les plus grands films de science-fiction à ce jour, à l'instar de "Blade Runner", de "l'Armée des douze singes", de "La Planète Interdite", et même j'ose le dire, de "2001, l'odyssée de l'espace". Un conseil : le voir en v.o., dans sa mouture comprenant au début la présentation de l'homme qui se fait passer pour le dieu "Zardoz". Cela est capitale pour la compréhension du film.
    N.Gaumend
    le 17 août 2004 14h02
  • 100
    exelent:
    musique
    acteur
    histoire
    credibilité (sauf le masque )
    zarcoz
    le 9 août 2005 11h16
  • 80
    Le message de Zardoz est semblable à la contradiction symbolisée par la déesse Shiva, dans la mythologie hindoue : lier la fécondité et la destruction, dans un ensemble harmonieux.

    Par contre, Sean Connery en pagne et en bottes de cuir, c'était vraiment nécessaire?!
    LightSpeed Mobilette
    le 31 août 2005 11h57
  • 100
    Malgré certaines critiques parfois justifiées, il faut remettre Zardoz à sa juste et exacte place. C' est avant tout une allégorie sur le devenir de l' homme qui, plus il désire s' affranchir de la souffrance et de la mort, plus il s' éloigne de son humanité. En dehors des prémices d'écolo, psycho, moralisateurs, c' est une quète de la valeur de la vie. Et c' est parce que la vie s' achève qu' elle est si précieuse. C' est cela le fond de l' histoire. Tourné à une époque de Power Flower, cela nous entraine dans une spirale mystico futuriste du meilleur aloi. Encore faut il laisser vagabonder son imagination assez loin pour ne pas voir les failles de l' histoire. En gros, laissez vous emporter et bon rève.
    Le Hyyyf
    le 21 janvier 2008 22h07
  • 60

    Zardoz est une oeuvre ambitieuse, nul doute là-dessus. John Boorman poursuit son propos exploré dans Délivrance, le lien entre l'homme et la nature, la vie et la mort, la bestialité et la culture etc... Le problème de Zardoz à mon sens c'est qu'il est trop ancré dans son époque, les années 70. En effet tout le film transpire l'époque post hippie que se soit dans l'esthétique kitch, l'érotisme ostentatoire et le mysticisme asiatique alors en vogue à l'époque. À la différence de Soleil Vert, Mad Max ou Rollerball, Zardoz n'arrive jamais a dépasser son imagerie seventies et même si ses thématiques sont intéressantes, leur développement se retrouve cristallisé dans une iconographie bien trop obsolète. Dommage.
    G7K
    le 6 juin 2021 11h45

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Informations complémentaires sur Zardoz