Batman : The Dark Knight [2008]
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Impatience Bientôt

Batman aborde une phase décisive de sa guerre au crime. Avec l'aide du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur Harvey Dent, Batman entreprend de démanteler les dernières organisations criminelles qui infestent les rues de sa ville. L'association s'avère efficace, mais le trio se heurte bientôt à un nouveau génie du crime qui répand la terreur et le chaos dans Gotham : le Joker...

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Commentaires des membres (16)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 90
    Noir, violent, torturé, design migastralement interprété, c'est un Batman qui a de la gueule!
    Hotdog
    le 14 août 2008 09h32
  • 100
    Sans conteste Nolan signe là le Batman le plus aboutie de la saga, de par un scénario travaillé et intelligent il nous montre comme dans le comic novel de Miller, la folie que tente d'amener le Joker... quel plongé dans le coté obscure. quel interprétation de ces deux ennemies (joker et double face) si particulier par leurs sens moral différent du reste de la société. Généralissime.
    djdj
    le 14 août 2008 11h08
  • 100
    Apres batman begins the dark knight est une veritable bombe on en sort secoué par la prestation des acteurs
    C'est le meilleur film de l année
    Arnaud
    le 14 août 2008 15h33
  • 50
    Après de longs mois d'attente, il est finalement là. Qui ? Batman ? Non. Le Joker. Et tout le problème du film est bien là : l'homme chauve-souris ne fait pas le poids face au(x) méchant(s) de ce "Chevalier Noir".
    La première séquence donne le ton : il y a un nouveau vilain en ville. Le braquage est rythmé, extrêmement bien réalisé. Le futur affrontement entre notre Chevalier Noir et son antagoniste donne l'eau à la bouche. Et la déception n'en est que plus grande par la suite. La première apparition du Batman laisse à désirer tant elle est visuellement pauvre. La scène d'action est rigide, répétitive, et, surtout, peu lisible. Aaaargh ! Les gros plans sur Batman laissent perplexe : le masque lui fait une grosse tête, et, notre super héros perd carrément de son aura. Il est manifeste que Nolan se sent plus concerné et plus attiré par le Joker que par le justicier de Gotham. En témoigne l'apparition suivante du bad guy, et son fameux "tour de magie". En fait, après l'introduction, le scénario s'enlise, patine au démarrage, avec une histoire de gros sous inutilement compliquée qui oblige Batman à un aller retour à Hong Kong aussi inintéressant que plat du point de vue de l'action et du style. Pendant près de 60 mn, "The Dark Knight" perd de vue son véritable sujet : l'opposition entre Batman et le Joker, qui donne naissance à Two-Faces. L'idée est d'ailleurs extrêmement séduisante : Two Faces est le "fils" du Joker et du Batman.. Mais, c'est un défaut récurrent des grosses machines Hollywoodiennes que de confondre quantité et qualité. Des détails et des allers retours laissent à penser que le scénario est dense, ce qui est faux. Il remplit les vides, il brasse de l'air, il manie les données (billets marqués, l'escroc Chinois, etc.) au détriment de la psychologie des personnages. Certes, une séquence par-ci évoque le triangle amoureux Rachel/Wayne/Dent, une autre par-là mentionne la croisade du milliardaire et le regard qu'il porte sur le procureur, mais que ces scènes figurent dans le métrage ne signifie pas pour autant qu'elles sont traitées. Et pour cause : l'intrigue se noie sous des faits de seconde zone liées à l'histoire de l'argent de la pègre. A ce propos, le nombre de séquences dont les seules fonctions sont d'expliquer un fait ou d'en justifier un autre est impressionnant. Ces scènes ne véhiculent aucun enjeu psychologique, elles n'ont pas un double niveau de lecture, elles sont simplement explicatives.
    De fait, le film s'intensifie logiquement lorsque le Joker et le Batman se confrontent pour la première fois, durant la fête donnée par Wayne en l'honneur de Dent. C'est logique : nouvelle apparition de Heath Ledger, et l'histoire se recentre enfin sur son véritable enjeu : un jeu de chat et de souris entre nos personnages clefs. Par conséquent, la deuxième partie du film devient excitante, grâce à des séquences fortes et mémorables : la capture du Joker, l'interrogatoire du Joker, l'évasion du Joker, et encore celle où le Joker donne naissance à Two Faces dans sa chambre d'hôpital. Il est d'ailleurs notable que le Joker mène la danse dans toutes les séquences marquantes du "Chevalier Noir", ce qui souligne encore un peu plus la faiblesse de Batman à l'écran.
    Aussi, il n'est pas certain que le parti pris artistique de Nolan soit judicieux. En effet, le cinéaste a décidé de traiter le Batman de façon réaliste. Cette approche convient parfaitement au Joker et à Two Faces. Mais, l'image du Vigilante en ressort fortement égratignée. Ses interventions manquent cruellement d'impact. Il semble engoncé dans son armure, il manque de souplesse, sa cape est molle. Ce Batman manque d'ampleur, de mystère (ce qui était déjà le cas, mais dans une moindre mesure, dans "Batman Begins"). Et, encore une fois, plusieurs gros plans font mal : grosse tête, yeux cerclés de noir. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas dans ce costume et dans sa mise en scène. D'une certaine manière, Batman est démystifié.
    "Le Chevalier Noir" était donc attendu, désiré, et, comme l'opus précédent, ce film laisse sur sa faim. Il souffle le chaud et le froid. Le traitement de Nolan en est le principal responsable. Sa réalisation fait vivre Gotham City, ses flics et sa pègre, mais elle sabote son (anti) héros. En fait, "Le Chevalier Noir" gagne les faveur du public grâce à son Joker (et au talent de son interprète ! Formidable !), pas à son Batman. Ce qui est finalement un aveu de demi échec.
    Hal 9000
    le 18 août 2008 13h51
  • 100
    Non non... pas le film en lui même ! Mais moi je l'ai vu et re-vu, et il est vraiment excellent. J'avoue, comme Hal9000 le dis plus bas, qu'il y a des petites choses tracassantes, mais j'ai du mal à m'arrêter à ces détail tellement j'ai été englouti par le film au bon sens du terme.
    Bien entendu, le Joker nous livre une une prestation des plus grandiose, drôle et trés noir avec des idées tordues en veux-tu en voilà (le coup du crayon qu'il fait disparaître entre autre) et la "naissance" de "double-Face" est très bien amenée !

    Un gros bon moment tout le long du film
    Dryss
    le 27 août 2008 02h15
  • 70
    Et bien j'ai été un peu déçu. C'est un bon film, mais Batman n'y est pas très interessant. C'est vraiment le Joker qui joue le mieux. Et une fois le film finit, je me suis dit "tout ça pour ça ?"... bref, déçu pour un film de Batman, pas mal pour un film du Joker, et honorable pour un film d'action classique.
    Yom
    le 13 septembre 2008 12h12
  • 80
    pas meilleur que le premier, batman beguins, mais autant bien... tout en etant quand meme different : il n'y a plus l'aspect initiatique du premier opus, on passe à autre chose, qui bouge vraiment...
    noumayos
    le 27 septembre 2008 18h53
  • 100
    Si vous avez cet air, c'est que vous n'avez pas vu ce film super bien construit au niveau du scénario. Les acteurs sont magnifiques : Christian Bale est bien le Batman et Heath Ledger incarne un Joker inoubliable. Côté mise en scène, c'est fabuleux, explosif! Humour, action, effets spéciaux (magnifique Double-Face), musique, intrigue, ambiance obscure...Tout est parfait. Ce film est 1 000 fois mieux que le premier, "Batman begins"! J'en redemande!
    le Joker
    le 22 novembre 2008 17h09
  • 10
    Batman, le Dark Night, filme attendu, plébiscité par les critiques, carton planétaire, tu verras dis je ce jour d'Aout malheureux, ça va être génial, à ma compagne à qui Batman fais autant d'effets qu'un plat d'épinard froid à la cantine scolaire.

    2h et quelques endormissements plus tard, car le film est long, très long et même beaucoup trop long, je ressorts, les yeux pleins de larmes, les deux genoux à terre, les mains vers le ciel en criant "POURQUOI?????"

    La claque oui, mais de celle qui font mal aux mollaires droites pas encore plombées par un dentiste furieux de voir autant de carries dans une bouche à l'haleine fétide.

    Batman, héros torturé, qui fait mumuse avec tout plein de gadgets à faire palire Q, semble avoir du mal à se mouvoir dans son costume se fait mettre une branlée par un Joker, certes divinement interprété, armé d'un petit couteau?????

    Le pompon, Gotham, cité noire, dont le premier épisode donnait la mesure angoissante de l'insécurité, devient une ville grise, sans vie, un décor banale, ou comme je l'ai lu notre héros semble sorti d'un bal masqué, loupage total!

    Alors , la crise d'identité, le sacrifice d'honneur qui ne rime à rien, et fait même limitte rigoler, "Commissaire Harvey était un chevalier Blanc", alors que celui ci d'Harvey voulait buter le rejeton du commissaire trois secondes avant, cela vaut quand même son pesant de pop corn!

    Passons sur le voyage à Hog Kong, ou Batman en vacances, l'affrontement final tout pourri, et les revirements a deux balles, dont une excellente fausse mort du Commissaire Gordon ( Même pas mort qu'il était ce bon vieux commissaire à Lunettes Afflelou)

    Encore une fois une déception, mais que sont devenus nos héros? Indiana Jones fait copain avec ET, ou se fritte je ne sais plus la aussi je pleurais, John Mac Lane a perdu ses cheveux et nous assomme à coup de masse et de vannes foireuses, même lourdes, James Bond bouge tellement vite que le caméraman ne peut plus le suivre et fait sauter une heure de film en à moins d'être pris d'une crise d'épilepsie, et Spider man fait copain avec celui qui a juré sa mort.

    Je crois que je n'ai pas fini d'acheter des mouchoirs....
    rchoucart
    le 17 décembre 2008 00h53
  • 70
    Un bon film dans l'essemble. Au niveau du scénario, des personnages, de l'ambience, d ela ville de Gotham tellement bien rendue... et meme les scenes d'action, qui, sans être exeptionelles, ont le mérite d'être comprhéensibles.

    En fait, le plus gros défaut de se film, LE défaut absolument monstrueux et terrible, qui était présent dans le film précédent (avec le massacre du personage de Ras'al ghul) c'ets l'absence du personnage de batman.
    Je ne dis pas que Batman est mal fait, je dis qu'il n'y a pas de batman de ce (ces) films.
    Bruce Wayne oui, sans doute, et encore...
    Mais bon sang, Batman, il est terrifiant, complétement obssédé par sa mission, c'est un génie dans tout les domaines (il est aussi, si ce n'est plus, intelligent que Lex Luthor !) aussi bien l'informatique que la chimie, la robotique...
    C'est l'essence du personnage, son super pouvoir a lui, c'est sa capacitée a résoudre des enquetes et a s'inventer des gadgets... Il a pas besoin d'un lucius fox pour cela.
    Quant a son amour pour la demoiselle... La seule femme dont batman est capable d'etre amoureux, c'est Gotham City.
    Selina à la rigueure, mais même elle n'arrive pas à remplacer la ville dans le oeur du chevalier noir.

    Le joker, par contre, est sublime.
    Il y a eu de multiples joker dans les comics (ce qu'Arkham Asylium explique par une folie incarnant le stade futur de l'évolution xD) et celui là, par son absence d'origines, et les multiples que le joker raconte a se propos, rend très bien cet aspect.
    Jack Nicholson était un très bon joker.
    Heath LEDGER est LE joker.

    Bref, un très bon film, est une très bonne adaptation de comic book.
    Dommage juste que ça ne soit pas un film de Batman.

    PS : A tout ceux qui ne l'ont pas fait, que vous ayez aimé ou détésté le film, aller lire " The long Halloween". C'est bien, c'est beau, c'ets culte.
    DSW
    le 29 décembre 2008 15h36
  • 50
    Beaucoup de bruit pour pas grand chose.Une foie passé l'éffet joker(exelent faut avoué)rien de novateur ce laisse regarder comme un bon film d'action rien de plus.
    chris91240
    le 5 mars 2009 19h46
  • 100
    Deuxième film de la sage de Nolan et encore un succès. L'intrigue est encore plus profonde que dans le précédent puisqu'elle s'attache à entrer dans la tête des personnages. Beaux décors, belle batmoto, supers acteurs (en particulier Aaron ECKHART qui joue un double-face torturé par la perte de sa petite-amie et bien sûr, le regretté Heath LEDGER qui interprête un Joker complètement fou, mais moins hilare que les précédents), effects spéciaux hallucinant (encore une fois double-face est très bien conçu puisque sa face sombre rappelle le personnage original tout en étant crédible) et de superbes scène (en particulier la scène final bien qu'elle soit un peu annihilatrice.
    Harts
    le 5 novembre 2009 18h16
  • 90
    Longtemps attendu comme une sorte de messie parmi les films de super héros, il faut dire que The Dark Knight avait tous les arguments pour faire saliver les amateurs de l’homme chauve-souris. Batman Begins avait lavé l’affront des deux derniers opus, en reprenant à zéro une nouvelle série rétablissant une ambiance digne de la mythologie du personnage. Mais ce revival n’avait pas totalement convaincu, la faute à une réalisation parfois brouillonne (quoiqu’inspirée), à un passage avec des ninjas assez risible, et à une actrice… hors propos. Mais force est de constater qu’aujourd’hui que ce Begins apparaît comme un brouillon de ce qu’on peut qualifier comme un des meilleurs films de super-héros jamais fait.
    En 2h30, Christopher Nolan construit dans son Dark Night une architecture complexe dont l’ampleur et la force donnent le tournis. Ne cédant jamais à la simplification ou à la facilité, Nolan entrelace les sous-intrigues et les personnages secondaires pour construire un univers cohérent, dans lequel se tissent les enjeux dramatiques les plus sombres jamais vus dans un film de la sorte (à part peut être dans le Batman Returns de Tim Burton). Il ne s’agit pas ici d’aligner des scènes d’actions et de comédies dans le cadre d’un affrontement entre super héros « gentil » et son adversaire « méchant », mais de pousser de véritables figures mythologiques dans leurs derniers retranchements, à l’image de ce Joker toujours à la limite de l’autodestruction, incarnation vivante du chaos.
    Pour construire cette nouvelle version de l’éternel rival de Batman (il fallait oser passer après celui de Jack Nocholson) Nolan puise dans les problématiques de notre temps, lui donnant une dimension moderne tout à fait saisissante. En effet, comment ne pas voir en lui une sorte d’ultra terroriste, distillant la peur dans ce monde trop ordonné à son goût, en se basant sur la corruption et la misère pour se constituer une armée étendue sur toute la ville, sans cesse grandissante… ? Heath Ledger porte physiquement le personnage, lui donnant des postures inoubliables, qui ont le mérite de ne pas être trop soulignée par une mise en scène qui ne s’attarde jamais, toujours haletante, toujours fiévreuse. Face à lui, Christian Bale présente un jeu assez fade, mais fort heureusement rehaussé par une caractérisation de Bruce Wayne / Batman assez passionnante. La face publique du milliardaire est à l’opposée de la timidité sympathique de celui interprété par Michael Keaton autrefois. Ce Bruce Wayne est arrogant, tape-à-l’œil, et jaloux, vulnérable à la tentation de tout arrêter pour enfin retrouver son amour inaccessible, Rachel. Celle-ci est incarnée par une Maggie Gyllenhal parfaite, et non plus par Katie Holmes (Seul changement de casting, mais salutaire). Son personnage se trouve d’ailleurs être un des piliers de cet épisode, étant la source d’équilibre des deux protecteurs de la ville, Batman, et son nouvel allié, le jeune procureur Harvey Dent, symbole de la lutte sans merci contre la pègre. Ainsi forment-ils les deux faces d’une justice toute puissante (l’un représente le droit, l’autre son occulte bras armé) qui va se retrouver non seulement désarmée mais totalement contre productive face à un adversaire qui la pousse dans ses derniers retranchements, jusqu’à cette descente aux enfers finale dont tout l’enjeu dramatique se concrétise dans le personnage de Two-Face, figure tragique et désespérée totalement fidèle au personnage de la bande-dessinée (qui représente aussi malheureusement la seule limite d’un point de vue direction artistique, mais le jeu de Aaron Eckaart fait oublier ce point noir).
    Filmé comme un polar de haute volée, avec ses décors urbains réalistes donnant à Gotham une existence palpable, un climat, et une direction d’acteurs à l’opposé de ce qui se fait dans les blockbusters de ces dernières années, ce Dark Night s’impose donc comme une œuvre d’une richesse inespérée, d’une noirceur sans limite, aux multiples lectures possibles, qui n’oublie pas pour autant le grand spectacle avec des scènes d’actions démesurées et brutales. 15 ans après son « Returns », Batman prouve décidément qu’il est le super-héros qui s’accommode le mieux au 7ème art.
    Dyoup
    le 23 février 2010 12h50
  • 90
    ce film n'est pas une merveille mais a un poil pres

    bravo! tout simplement
    big men
    le 11 août 2012 20h05
  • 95

    pour moi le meilleur des Batman. Christian Bale est vraiment parfait en Batman. sans parler des nombreux second rôles qui eux aussi ont de la geule
    baba62610
    le 29 septembre 2013 15h20
  • 100

    La meilleur adaptation du chevalier noir depuis Batman Returns. Tout s'accorde à merveille dans The Dark Knight, que ce soit la réalisation millimétrée, le scénario habile et profond, l'interprétation brillante (Heath Ledger en tête), la bande son percutante et les effets spéciaux réalistes. Une partition sans tâche qui élève Batman au sommet de son art.
    G7K
    le 17 novembre 2016 17h40

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