Critique [REC] Génesis #3 [2012]

Avis critique rédigé par Jonathan C. le lundi 19 mars 2012 à 00h30

La mariée était en rouge

REC3 affiche

Plutôt novateur pour l’époque, bien que sorti entre Cloverfield et Diary of the Dead, le premier [REC.] avait fait forte impression (carton en Espagne et joli succès à l’international, d’où un remake américain) mais se terminait trop soudainement, en plein pic de pure terreur. Toujours réalisé par Paco Plaza et Jaume Balaguero, [REC.] 2 laissait tomber toute vraisemblance (plus de fausses interviews inutiles pour faire remplissage, plus de réflexion sur l'image et les médias...) pour s’imposer d’emblée comme un rollercoaster fun, jouissif, nerveux, bourrin, inventif et plein d’humour noir (déjà), une pure série B construite comme un jeu vidéo (différents héros et points de vue, boss de fin de niveau, énigmes, pièges et passages secrets, des séquences en FPS, des objectifs à accomplir et des quêtes à mener, informations de l’intrigue se dévoilant au compte-goutte, une avancée en exploration, une ambiance à la Silent Hill…) et assumant pleinement son argument fantastique (le Diable est bel et bien dans le coup) au point de virer au film d’exorcisme, avec 1000 fois plus d’efficacité qu’un Devil Inside ou qu’un Le Dernier exorcisme. Réalisé par Paco Plaza sans Jaume Balaguero (qui reste à la production), [REC]³ Génesis tente de donner un coup de neuf à la saga (car pour Paco Plaza, « cela n’avait pas de sens de réaliser une suite semblable aux films précédents »), d’abord en situant son invasion de possédés pendant un mariage, ensuite en s’imposant de façon totalement anecdotique comme une préquelle (c’est la mode), comme son titre peut d'ailleurs l’indiquer, et enfin en passant du found-footage (une caméra subjective à l’épaule) à une réalisation plus traditionnelle et cinématographique.

carnage au mariage

Pendant 20 minutes, nous sommes bien dans du [REC.], malgré un générique de début très drôle jouant sur l’esthétique kitsch du film de mariage (avec menu du DVD !). Alors que la tension monte et que les mauvais présages se multiplient (le tonton jovial mordu par un chien a pas l’air dans son assiette), le point de vue en found-footage oscille entre trois personnages (dont un professionnel) armés d’une caméra, de quoi couvrir une bonne partie des évènements. Le film de mariage censé immortaliser le plus beau jour de votre vie vire donc brutalement au cauchemar (de quoi psychoter pour votre prochain weekend mariage), et c’est à ce moment-là, alors que le titre s’affiche à l’écran au bout de 20 minutes de film, que le réalisateur choisit une mise en scène « traditionnelle » pour suivre les survivants se frayer un chemin entre les infectés/possédés éparpillés partout dans le domaine. Paco Plaza en profite pour se moquer du found-footage, notamment en utilisant le réalisateur du film de mariage qui, ne jurant que par Dziga Vertov et Jean Renoir, est obsédé par le « rendu cinéma » et affirme que « la caméra à l'épaule c'est naze ». Une façon d'annoncer le changement stylistique qui va suivre.

C’est paradoxalement en abandonnant le concept du found-footage, comme si ce genre très tendance avait épuisé toutes ses cartouches (ce pourquoi le cinéaste préfère s’en moquer plutôt que de l’exploiter), que Paco Plaza en fait ressortir les qualités. Cette esthétique found-footage, crédible dans le premier film et improbable (mais fun) dans le second, apportait aux [REC.] un vrai sentiment de stress, d’urgence, d’oppression, de panique et de tumulte hystérique, des sensations fortes que n’aurait pas forcément pu créer une mise en scène "normale". C’était la patte de [REC.], c'était la touche personnelle de la saga, c’était ce qui démarquait ces films des nombreux autres films d’horreur avec invasion de zombies/infectés/possédés. Et un [REC.] qui n’est pas en found-footage n’a plus grand intérêt (Plaza semble avoir perdu de vue la signification du titre [REC.]), redevenant un film de zombies conventionnel ; c’est le triste constat de [REC]³ Génesis lorsqu’il décide, sans grande justification, de rompre avec le principe et le langage propres à la saga. C'est d'autant plus frustrant que cette première partie mettait en place une alternance excitante entre les trois points de vue/caméra, de l'amateurisme le plus brouillon au rendu cinéma pro en steadycam

REC3

L’idée de supprimer le concept found-footage pour une réalisation « plus professionnelle » à l’exact opposé (champs/contre-champs, travellings, grues, steadycam, lumière sophistiquée…) aurait pu être bonne si cette mise en scène classique qui suit avait été à la hauteur. Hors, c’est loin d’être le cas. Là ou le found-footage pouvait masquer les défauts de la mise en scène et pallier à une absence d’idées formelles (pourtant nombreuses dans [REC.] 2), il n’y a plus rien ici pour cacher la platitude de la réalisation de Paco Plaza, qui doit cette fois se débrouiller sans Jaume Balaguero, ses précédents films en solo étant d’ailleurs déjà bien maladroits (souvenons-nous des Enfants d'Abraham et de L'Enfer des loups). La photo est peu esthétique (malgré l’utilisation de néons fluo, de couleurs plus pétantes et du flare) alors que la nouvelle orientation du traitement formel alliée à un cadre festif se prêtait idéalement à une lumière très stylisée qui aurait amené un cachet plus cinématographique et en même temps plus comics-book, d’autant plus dommage que Paco Plaza se laisse aller à quelques plans fortement iconographiques (surtout avec sa mariée armée d’une tronçonneuse) et que le chef opérateur avait fait un boulot remarquable sur [REC.] 2, Malveillance et Saint Ange. [REC]³ Génesis ne va pas au bout de cette idée de contraste et fait ainsi regretter le style reportage/amateur, qui était bien plus dynamique. Par ailleurs, en revenant par intermittences au found-footage (cf. les caméras de surveillance) en pleine mise en scène « carrée », [REC]3 confirme une absence générale de cohésion et le je m'en-foutisme royal du traitement.

massacre infectés en vue

Passées les 20 premières minutes tendues filmée en found-footage, [REC]³ Génesis devient un film de zombies paresseux, plan-plan, rébarbatif, fauché et rigolard, ou les personnages se baladent tranquillement d’un point à l’autre sans trop savoir quoi faire (le réalisateur non plus, d’ailleurs) et dans des décors d’une pauvreté très Z (la nuit : un bois, une chapelle, un sous-sol, une cuisine, des couloirs, un jardin…). De temps en temps, l’un des protagonistes meurt dans une totale indifférence, l’aspect survival étant tout bonnement bazardé et tourné en dérision. [REC]3 reprend également l’idée du leader des infectés, démon décharné semblable à celui qu’on voit à la fin du premier film, mais sans en faire grand-chose (« Regardez, ça doit être le chef ! », puis voilà, rien de plus).

Incapable de créer des enjeux solides, d’instaurer une tension sur la continuité (seules quelques scènes isolées sont stressantes, cf. l’attaque dans la cuisine) et de faire exister ses personnages afin qu’on se captive un minimum pour leur survie (parce qu’à part la mariée, on se fout un peu des autres personnages), Paco Plaza décide de transformer [REC.] en une comédie horrifique débile et fantaisiste carburant aux gags, au comique de situation (franchement efficace), aux clins d'oeil complices (même au Shining de Stanley Kubrick), aux effusions gore (efficaces aussi) et aux idées bis délirantes (cf. l’utilité du prêtre et des hauts-parleurs, ou les possédés qui révèlent leur apparence démoniaque dans les miroirs) et ironiques (cf. le drame du sonotone), avec même un parfum de Z lorsque le héros revêt une armure, un casque et une épée pour affronter les "zombies", comme dans un bon vieux bis rital. A l’image d’un Dead Snow, [REC]³ Génesis retrouve l’esprit sale gosse et craspec des comédies horrifiques des années 80 et 90 (Sam Raimi, Peter Jackson, Le Retour des morts-vivants, Street Trash…). Les rencontres improbables avec le contrôleur des droits d’auteur et surtout avec le génial « John l’éponge » (« parce que Bob c'était plus disponible ») arracheront quelques rires (de même que le tonton qui garde son air jovial même en étant infecté), bien qu’ils meurent d’une façon anecdotique (dommage pour John l’éponge, attachant). Paco Plaza ne se prend plus du tout au sérieux, au point de négliger tous les aspects dramatiques et la mise en scène et de ne pas exploiter ses bonnes idées (il y en a pourtant pas mal). Probablement inspiré par le cadre glamour du mariage, il intègre à son récit des éléments du cinéma d’aventure et du cinéma romantique (séparés pendant le carnage, les deux mariés bravent les épreuves pour se retrouver), car il a voulu un [REC] « plus lumineux, plus drôle, violent et trépidant, et un peu plus voyou », les affiches de ce troisième opus ayant d'ailleurs troqué le noir des précédents à un blanc légèrement maculé de sang. Le cinéaste tape consciemment dans le sentimentalisme kitsch et dans le grotesque. L’humour remplace donc l’émotion (cf. le délire avec la tronçonneuse dans le tunnel ou la confession de la meilleure amie), et quand Plaza fait dans l’émotion sans humour, il verse sans le vouloir dans le grand-guignolesque (cf. le final). Honnêtement, on se marre (pas toujours quand il le faut, à vrai dire) et c’est déjà ça.

Leticia Dolera

Les acteurs sont eux aussi à fond dans le second degré. Il faut dire que les personnages sont écrits à la serpe, à coups de gags (parfois burlesques), de dialogues décalés (cf. la confession très drôle de l’amie française ou les délires religieux du gardien) et de punch-lines foireuses, ce qui les rend particulièrement cons alors qu’ils sont pourtant censés être des gens ordinaires auxquels on devrait donc s’identifier. Au pire, les personnages sont inconsistants ; au mieux, ils sont caricaturaux (dont rigolos). Mais Leticia Dolera (Imago Mortis, Spanish Movie, Disparitions avec Antonio Banderas, et elle apparaissait déjà dans [REC.] 2), qui s'exprime par ailleurs dans un français parfait (les personnages font d'ailleurs quelques clins d'oeil au public français), fait une superbe héroïne d’action (malgré son physique fragile), surtout armée d’une tronçonneuse dans sa robe de mariée ensanglantée. Contrairement à sa partenaire à l'écran, Diego Martin manque de charisme, ou du moins d'une forte présence.

REC3

A défaut d’être angoissante, cette farce macabre a le mérite d’être généreuse en hémoglobine et en effusions gore, mention aux carnages jouissifs dans le tunnel à la tronçonneuse (on pense aux morceaux de bravoure similaires dans BrainDead et Dead Snow, qui étaient tout de même mieux filmés) puis dans la cuisine (ou les personnages repoussent les possédés avec tout ce qui leur tombe sous la main). Bien plus que les deux précédents opus, qui étaient sur ce point forcément limités par le style found-footage (incluant un jeu de hors-champs) et par cette volonté de réalisme, ce plus cartoonesque [REC]³ Génesis se laisse aller à une surenchère de gore et de massacres, la caméra plus posée ayant cette fois amplement le temps de s’attarder dessus, ainsi que sur des maquillages aussi rudimentaires (voire cheap) que dégueulasses (la zombie obèse fait son effet). Cette fois, la violence est plus explicite, plein champs, frontale. Les effets spéciaux, privilégiant l’artisanale au CGI, sont réjouissants et spectaculaires, de quoi pallier à une réalisation approximative (dans le cadrage et dans le montage). [REC]3 est gentiment fun et trash, la jouant nihiliste dans un dénouement romantico-morbide sans concessions mais totalement gratuit et complaisant. Paco Plaza fait effectivement souffrir ses personnages jusqu’au bout et non sans un certain sadisme.

REC3 big zombie

On pouvait aussi s’attendre à ce que [REC]³ Génesis fasse le lien avec les deux précédents opus, mais il n’en est rien, ou alors de façon très furtive. Pour savoir ce qu’il se passe après [REC.] 2, il faudra attendre le [REC] 4 : Apocalypse de Jaume Balaguero. [REC]3 ne semble plus rien avoir à dire sur le sujet, à croire que le second opus a déjà tout révélé sur le mystère du virus maléfique à travers du blabla complètement absurde. On se demande bien aussi pourquoi avoir intitulé ce troisième opus « Genesis » (parce que ça sonne bien ?), sachant que le film ne revient à aucune genèse de quoique ce soit, bien que l’intrigue soit censée se dérouler chronologiquement avant les deux premiers [REC.] et que le premier film fasse brièvement allusion à ce mariage. Le fait que [REC]³ Génesis soit une préquelle ne change rien à l’affaire, ni dans les évènements (qui sont les mêmes) ni dans la mythologie (qui n'évolue pas). Ce troisième opus se situe simplement à un autre endroit, et pourrait tout aussi bien se dérouler au même moment. Rien ici n’a de cohérence et de réelle justification, puisque le mort d’ordre de Paco Plaza semble avoir été : « On s’en fout, amusons-nous ! ».

REC3 infecté

Paco Plaza, qui voulait offrir au public quelque chose de neuf tout en exploitant les mêmes recettes, joue aussi, avec un certain panache, sur l’irruption sanglante du film d’horreur dans l’imagerie glamour et naïve du mariage (c’est flagrant dés l’affiche), avec l’envie de « mêler ces traditions que tout le monde connait avec des éléments classiques du genre », d’unir l’hyperréalisme du film de mariage et le cinéma fantastique (ou quand « Berlanga se frotte à Rob Zombie », précise Plaza), de faire un film de zombies dans une fête de mariage « ou la mariée a une tronçonneuse », de la même façon qu’il mêle un romantisme cloche à la monstruosité, autre marque des comédies horrifiques à l’ancienne auxquelles se réfère [REC]³ Génesis.

Mais alors qu’un [REC.] 2 survolté ne laissait pas une seconde de répit (si ce n’est dans la partie centrale avec les jeunes), [REC]³ Génesis est truffé de flottements bavards, d’incessants allers-retours d’un lieu à l’autre et de répétitions, souffrant d'un sérieux manque d'intensité quand les personnages y passent ou sont en danger. Le danger, on a du mal à le ressentir. C’est pas qu’on s’ennuie (faut dire que ça dure 1h20), mais on aurait voulu que ça aille plus vite, que ça soit plus méchant, plus vorace, plus viscéral, car ça manque vraiment de bruit et de fureur malgré le déluge de sang et de morts (150 figurants y passent). En réalisant un [REC] 4 : Apocalypse (qui serait la suite directe de [REC.] 2) en solo, Jaume Balaguero devrait remettre les pendules à l’heure.

affiche REC3

La conclusion de à propos du Film : [REC] Génesis #3 [2012]

Auteur Jonathan C.
60

En sacrifiant au bout de 20 minutes l’immersion et la tension instaurée par l’esthétique found-footage (soit le principal intérêt d’un [REC.], d'ailleurs ça ne s'appelle pas [REC.] pour rien), Paco Plaza transforme son [REC]³ Génesis en une comédie horrifique décomplexée, plutôt fun, généreuse (une bonne dose de gore) et pleine d’idées, certes jubilatoire par instants mais finalement très anecdotique, maladroitement construite (malgré la très courte durée), pas très bien réalisée, écrite et montée à la serpe. Sans Jaume Balaguero pour rééquilibrer le délire, Plaza part en roue libre et bricole une amusante série B artisanale (cf. les effets spéciaux old school) et « rock’N’roll » aux relents de Z, ce qui, en un sens, la rend attachante. Mais [REC]3, comme torché rapidement dans la joie et la bonne humeur, manque de cohésion, d’un peu de sérieux et d’application, et tout part en vrille sans justification, dans la forme comme dans le récit. L’évolution de la trilogie [REC.], en attendant le prochain, possède des similitudes avec la trilogie Evil Dead : le premier était effrayant (un pur film d’horreur/épouvante), le second était effrayant ET drôle (un pur film d’horreur/épouvante avec beaucoup d’humour), le troisième est drôle mais pas effrayant (une comédie horrifique). Le souci, c’est qu’on va voir du [REC.] pour avoir peur et non pour se marrer. L'important est ici de s'amuser, ce qui marche plutôt bien. Déroutant voire hybride dans ses partis-pris, [REC]³ Génesis est différent des deux précédents opus, oui. Mais en moins bon.

On a aimé

  • Des effets spéciaux généreux et old school
  • Le coté bis et Z décomplexé
  • L'héroïne en robe de mariée avec tronçonneuse
  • Quelques scènes marquantes (le tunnel, la cuisine, le final)
  • John l'éponge

On a moins bien aimé

  • Aucune cohésion ni aucun sérieux
  • Zéro angoisse, zéro peur, zéro stress
  • Rythme bancal, répétitif
  • Plus de found-footage donc plus d'intérêt
  • Mise en scène plan-plan

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