Critique L'anneau des Nibelungen #8 [2005]

Avis critique rédigé par David Q. le mercredi 1 mars 2006 à 07h00

Une fin dantesque

Huitième et dernier tome d'un manga atypique, l'anneau des Nibelungen se termine par une fin mais qui laisse une note d'espoir. Ca permet aussi et surtout à Leiji Matsumoto de clore ce qu'on pourrait appeler la préquelle d'Albator et donc d'introduire ce qui sera une de ses séries phares des années 80. En dehors se ça, le manga laisse une impression bizarre, on ne sait pas trop si ça vient des traductions parfois limite mot à mot ou des nombreuses bulles narratives - comme des voix-off - qui nous prennent pour des neuneu en nous expliquant ce qu'on comprends avec la case. En tout cas, il laisse assurément une impression de narration parfois poussive. Le thème de Wagner (La chevauchée des Walkyries) apporterait un plus à l'histoire mais hélas on n'a pas encore de manga sonores. Il faudra donc se contenter des images, plus que correctes, de la patte du maître et de ses personnages pour trouver un peu de plaisir dans la lecture de ce manga.

La conclusion de à propos du Manga : L'anneau des Nibelungen #8 [2005]

Auteur David Q.
50

L'anneau des Nibelungen est une oeuvre onirique magistrale en opéra, mais qui aura du mal à convaincre l'amateur de manga, malgré la signature de Leiji Matsumoto.

On a aimé

  • Pas mal de gros plans et de pleines pages, rare en manga
  • L'aide mémoire sur l'oeuvre originale
  • Le lien avec la série Albator

On a moins bien aimé

  • Un style narratif particulier un peu lourd au fil des pages

Acheter le Manga L'anneau des Nibelungen en un clic

Nous vous proposons de comparer les prix et les versions de L'anneau des Nibelungen sur Amazon, site de vente en ligne dans lequel vous pouvez avoir confiance.

Retrouvez les annonces de nos dernières critiques sur les réseaux sociaux

Sur Facebook | Sur Twitter

Critiques liées

  • Voir la critique de Albator, Corsaire de l'Espace
    45

    Albator, Corsaire de l'Espace

    par Gil P. | Lecture : 2 mn 35

    Le voilà, Albator.... ou pas. : Le bonheur de revoir Albator a été de courte durée puisqu'on rentre d'emblée dans un faux rythme pour cette adaptation proche…