Le Miroir flexible a paru à partir de novembre 1933 sous forme de feuilleton dans la revue des Primaires. Le récit appartient au genre de ce qu'on appelle aux États-Unis, la novelette. Un genre qui, pour Régis Messac, « en un sens, se prête à certaines exigences du roman policier. » Si le Miroir flexible tient en partie du roman policier, il relève davantage du domaine de la science-fiction et de celui de la critique sociale. Avec le Miroir flexible, nous dit Gérard Klein, Messac « s'établit en continuité avec la science-fiction vernienne », et il introduit dans son livre « une conception darwinienne du progrès de la vie artificielle vers le but ultime, égaler voire dépasser l'intelligence humaine, qui est exactement celle de ses promoteurs actuels ». De plus, son mécanozoaire, « cet animal mécanique, ne doit rien à l'imitation du vivant, ce qui est d'une grande et peut-être d'une totale originalité dans la littérature ». Pour Gérard Klein, le Miroir flexible est « en soi une expression bizarre qui sonne comme un cadavre exquis surréaliste », mais l'auteur, nous dit-il, « avait tout compris, vingt ans à l'avance, à une époque où la documentation spécialisée était inexistante ».

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