La colline a des yeux ► Anecdotes du film

Cette section rassemble les anecdotes du film La colline a des yeux, regroupées en différentes catégories.

Aux sources du genre (Anecdote)

Aux sources de LA COLLINE A LES YEUX, il y a d’abord un film emblématique des années 70, réalisé par le grand maître du genre Wes Craven (LES GRIFFES DE LA NUIT). D’un autre côté, deux fans inconditionnels du cinéma d’horreur, Alexandre Aja et Gregory Levasseur, qui sont parvenus à clouer sur place le (petit) monde du film d’horreur via leur précédent long-métrage, le cultissime HAUTE TENSION (2003). Il y a enfin la réunion de ces trois artistes autour d’un même projet : faire une version modernisée du film culte de 1977. Le projet de « remaker » LA COLLINE A DES YEUX ne pouvait qu’exciter Aja et Levasseur : « Pouvoir donner notre propre vision de LA COLLINE A DES YEUX était un rêve, la chance de ré-imaginer un de nos films cultes avec pour guide son créateur, en ayant la liberté d’entraîner l’histoire dans de nouvelles directions… »

Un casting décimé méthodiquement (Anecdote)

Dès la genèse de l’aventure, Alexandre Aja a conscience que pour être réaliste le film doit faire appel à des acteurs capables d’être authentiques et naturels, car de leur faculté à incarner une famille crédible dépend l’implication du spectateur. Sans parler des contraintes inhérentes à un scénario qui ne leur laisse aucun répit, les protagonistes affrontent une palette hallucinante de ce qui peut survenir de pire. Le choix d’Aja se porte donc sur des acteurs solides, mais discrets : Aaron Stanford (X-MEN : L’AFFRONTEMENT FINAL), Emilie de Ravin (LOST), Ted Levine (LE SILENCE DES AGNEAUX), Kathleen Quinlan (BREAKDOWN) et Dan Byrd (MORTUARY). Une fois la famille réunie devant les caméras, Aja va rapidement se livrer à son exercice favori… les décimer méthodiquement !

Sans pour sang gore (Anecdote)

Aux prises avec une autre famille (fruits d’expériences nucléaires particulièrement dégénérés), les Carter vont vivre les pires heures de leur existence. Méticuleux, Alexandre Aja les soumet à un enfer sans retour peuplé de viol, torture, éventration, tête perforée à coups de pioche, homme brûlé vif, crâne explosé, etc. Dans un déferlement de violence gore à la limite du soutenable, dans la bestialité des affrontements - dont un combat mano à mano carrément anthologique – et dans la souffrance extrême des protagonistes, LA COLLINE A DES YEUX s’impose comme le survival d’horreur absolu. Plus viscéral, plus agressif que son modèle de 1977, LA COLLINE A DES YEUX ne poursuit d’autres buts que celui de malmener le spectateur. Lequel, prit à la gorge dès les premières minutes, ne se trouve « libéré » qu’au terme d’un déferlement de violence estomaquant qui le laisse vidé, dévasté… anéanti. Vous êtes prévenu…

Le saviez-vous ? (Anecdote)

- Le très troublant générique du film expose d’authentiques clichés d’enfants déformés suite à une exposition aux radiations nucléaires.
- La production a utilisé trois caravanes pour simuler celle de la famille Carter. Trois véritables caravanes Airstream achetées… au roi du Maroc en personne. - Alexandre Aja n’a que 27 ans lorsqu’il met en scène LA COLLINE A DES YEUX.

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