Bande Dessinée Au bord du Grand Rien Vol.19 - / Dargaud

Au bord du Grand Rien

à propos de la bande dessinée

  • 48 pages
  • Editeur : Dargaud
  • Prix public conseillé : 10,00€
  • Date de sortie : 1 octobre 2004 Il y a 19 ans

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Rappel du synopsis

Sur un astéroïde perdu au milieu de nulle part, Valérian et Laureline sont devenus de petits commerçants, des marchands peu prospères, plus intéressés par la recherche d’informations sur la Terre disparue que par le développement de leur chiffre d’affaires.

Et justement, ils apprennent qu’une expédition va bientôt partir explorer le Grand Rien, ces territoires inconnus aux confins de l’univers. Avec cet album, 1er tome d’un nouveau cycle, les légendaires Christin et Mézières entraînent leurs lecteurs, petits et grands, dans une somptueuse quête au-delà des étoiles. Merveille d’imaginaire visuel et d’aventure à l’humour délicieusement incorrect, Valérian et Laureline reste depuis plus de trente ans la plus fabuleuse série de science fiction de la bande dessinée, toujours copiée, jamais égalée. C’est toujours un immense plaisir de retrouver Valerian et Laureline, plus célèbre tandem de la Science Fiction.

Née dans les années 60 au sein de ce formidable laboratoire que fut Pilote, la série est devenue culte et a influencée Georges Lucas (regardez le Millenium Falcon), Luc Besson (le 5ème élément) et tant d’autres. Cet album marque un tournant dans l’histoire de la série. Christin et Mézières ont en effet décidé de clôturer la saga sur un triptyque dont Au bord du Grand Rien est le premier tome. Valérian et Laureline vont rechercher la Terre au cours d’une quête fabuleuse qui les verra traverser l’Univers et rencontrer de multiples peuplades étonnantes.

Le lecteur retrouve, magnifié par le talent des auteurs, tous les ingrédients subtils d’humour et de fantastique, qui font le charme unique de cette fabuleuse saga. Ce premier tome est aussi une merveilleuse porte d’entrée sur la série, car il peut être lu indépendamment des épisodes précédents, par un lecteur qui n’aurait jamais eu le bonheur de lire un Valérian.