NIFFF Jour 5 : des chiens, des chiens, des chiens...
Le futur vainqueur présenté hier ?...

Cinquième journée au NIFFF qui nous aura permis de découvrir, pêle-mêle, le dernier film des studios Hammer, un sérieux challenger pour le prix de la compétition international, un documentaire pour les cinéphiles ainsi qu'un nouveau regard sur le nouveau film des Frères Vicieux (les Vicious Brothers, mais c'est plus drôle dit en français). Bref, une journée intéressante !

En parallèle, c'est aussi déroulé ce mardi et mercredi le désormais traditionnel et toujours aussi intéressant « Imaging the future symposium ». Pour rappel, si besoin, il s'agit d'un événement multidisciplinaire qui traite des problématiques liées à la production et à l’utilisation des images numériques, des spécialistes venus de domaines aussi variés que le cinéma, l’art contemporain, le design des jeux vidéos interviennent et s’expriment par leurs expériences. La première journée étant plus orienté par les jeux et la seconde le cinéma.

Pour exemple, ce mercredi nous avons assisté à une session « Dompter les créatures – Animaux et dragons  » avec pour intervenants Alexandre Poncet venu présenter quinze minutes d'images exclusives du futur documentaire Complexe de Frankenstein qu'il réalise avec Gilles Penso. Des images alléchantes annonçant un documentaire riche en anecdotes et retraçant de manière ludique et intelligente toutes l'histoire des effets spéciaux au cinéma de Mélies à Avatar. La sortie est prévue pour 2015 et au regard de ce que nous avons vu, nous sommes impatients. Par la suite, dans cette même thématique, Miklos Kozary, Superviseur VFX chez Elefant Studios est venu nous présenté ses travaux qui entre ont consisté à faire parler de manière réaliste un hibou ou un singe. Le chapitre s’est clôturé sur les dragons de Game of Thrones en la présence de Sven Martin, Superviseur VFX chez Pixomondo et l'homme fut particulièrement passionnant. Ceci reste bien sûr qu'une parcelle de cette journée puisqu'il fut question aussi de découvrir quelques secrets autours des visuelles de Edge of tomorrow ou encore de suivre une intervention de Scott Squires, Superviseur VFX, Dévelopeur de software et qui a travaillé sur des films comme La menace fantôme ou encore The Mask.

 


​Côté cinéma, nous avons commencé la journée avec The Quiet Ones, dernier film produits par les mythiques Studios Hammer. Enfin, anciennement mythiques Studios Hammer, parce que depuis leur résurrection il y a quelques années, force est de constater qu'ils ne nous ont livré qu'un seul bon film (La Dame en Noir) pour une pelleté de films tous plus médiocres les uns que les autres : Let me inWake Wood et La Locataire. Et fort malheureusement, The Quiet Ones se trouve dans la deuxième catégorie. Il faut dire que la réussite de La Dame en Noir ne reposait pas sur la qualité du script (finalement convenu et prévisible) mais bien sur l'excellente mise en scène de James Watkins. Alors du coup, quand on prend une histoire convenue, un scénario mal écrit et que l'on confie les rênes du projet au réalisateur de En quarantaine 2, il ne faut pas vraiment s'étonner que le résultat final soit un véritable naufrage.

En 1974, Joseph Coupland, brillant professeur d'université, lance une expérience pour tenter de prouver que fantômes et autres évènements surnaturels sont en fait des créations de l'esprit humain. Aidé par deux étudiants et un caméraman, il commence à mener une expérience Jane Harper, jeune femme harcelée par un fantôme. Mais les choses ne vont pas se passer comme prévu... Et attention (parce que ça fait peur), il faut savoir que ce film est "tiré d'une histoire vraie"...

The Quiet Ones propose une histoire de fantôme/démon/possession (rayer la mention inutile) comme on en a déjà vu des centaines. Absolument tous les clichés vont être resservis au spectateur pendant les quelques quatre-vingt dix minutes de projection. Les personnages sont des caricatures enfermées dans des carcans de clichés, les péripéties sont prévisibles (on peut deviner le final en moins de dix minutes, si, si), l'histoire ressemble à celles de pleins d'autres films ("histoire tirée d'une histoire vraie", ou "histoire tirée d'un vrai film" ?). On se demande franchement ce qui a pu décider des producteurs à signer un chèque pour faire ce machin. Peut-être n'avaient-ils jamais vu d'autres films avant...

Pour mettre en scène ce scénario, John Pogue a décidé de proposer quelque chose à mi-chemin entre le film de cinéma et le found footage. Alors soyons sincère, c'est peut-être là la seule bonne idée du film. En effet, en alternant entre l'un et l'autre, il réussit à se servir de l'efficacité du procéssus found footage (notamment pour la mise en scène des effets de peur) tout en en contournant les incohérences inhérentes (dès que ça s'agite, ils arrêtent de filmer, ce qui évite la caméra parkinsonnienne). Donc, sur le principe, on est d'accord, l'idée est bonne. Le problème, c'est qu'au délà du procédé, pour faire peur aux spectateurs, il faut surtout du talent.

Et du talent, John Pogue en manque, clairement. En effet, devant The Quiet Ones, point de peur, de frisson ou de cris, seulement de l'ennui, de l'assoupissement et des baillements. Tous les effets sont convenus et attendus (du jump scare, encore du jump scare, toujours du jump scare), l'aspect found footage n'apporte absolument rien à une histoire qui aurait été tout aussi inefficace avec une réalisation plus classique, l'ambiance est inexistante (même la reconstitution années 70 est insipide), les comédiens cabotinent (menés par un Jared Harris, d'ordinaire plus sobre, ici tout en roue libre et en grimaces) et le rythme n'y est pas (prendre son temps pour poser une ambiance ne signifie pas oublier de rythmer son film). Bref, faire du classique, c'est bien, mais pour cela, il faut un metteur en scène qui ait de l'envergure. John Pogue n'en a pas, et The Quiet Ones s'en ressent de bout en bout.

Richard B. : 3/10
Vincent L. : 2/10

 


​Par la suite, j'ai été voir Extraterrestrial, des Frères Vicieux. Passablement démoralisé par Richard, qui avait vu le film le premier jour et l'avait détesté (voir son point de vue ICI), je n'y allais que par conscience professionnel parce qu'il faisait partie de la compétition internationale. Et au final, force est de constater que j'ai agréablement été surpris par le résultat. Certes, le film ne casse pas trois pattes à un canard, mais ce n'est certainement pas le gros étron que l'on m'avait vendu.

April a promis à maman de faire des photos pour aider à vendre la vieille baraque familiale et, au passage, de récurer quelques babioles pour papa qui est aujourd'hui en dépression suite à son divorce et sa perte d'emploi. Son petit copain ne peut s'empêcher de proposer à d'autres collègues de venir les rejoindre pour profiter de la campagne afin de fumer et boire sans trop être observé. Nous avons donc cinq jeunes adultes qui décident de festoyer sans savoir que la région est depuis peu le théâtre d’étranges événements. Alors que leur débauche bat son fort, un OVNI s’écrase dans la forêt. Poussés par leur curiosité, ils décident d’aller jeter un œil sur la chose. Ce qui devait être une simple escapade se transforme alors en lutte pour la survie.

Coupables de Grave Encounters, et coupables - avec circonstances aggravantes - de Grave Encounters 2, les Frères Vicieux ont jusqu'ici livrés des films à l'image de leur pseudo : attardés. Pour cela, et pour le mauvais retour de Richard, je n'attendais rien de ce film. Pourtant, au final, j'en suis ressorti en me disant que les Frères Vicieux n'étaient finalement pas si nuls que ça. Alors certes, le tout ne casse pas des briques, s'avère convenu sur pas mal de point, souffre d'un gros quart d'heure de trop (le film ne sait malheureusement pas s'arrêter), mais, finalement, s'avère rythmé, distrayant et, sur pas mal de points, plutôt bien fichu.

Il faut quand même reconnaître que les Frères Vicieux savent y faire avec pas grand chose, et qu'en terme de résultat à l'écran, vu leur budget, leur film à quand même de la gueule. Bien que peu originaux, les quelques plans numériques utilisés sont plutôt jolis (en tout cas, il ne souffre d'aucun gros problèmes de conception/incrustation), le reste des effets étant fait de spots qui clignottent, d'effets de lumières et de flou, bref, d'autant d'artifices habilement utilisés pour masquer le manque de moyen. Au final, le spectateur peu averti n'y verra que du feu (il y a toujours quelques plans numériques pour casser l'aspect cheap d tout), là où le connaisseur pour s'amuser de cette dextérité certaine.

Pour le reste, Extraterrestrial n'est finalement qu'un X-Files à la sauce teenager, sans plans nichons mais avec de la drogue et de l'alcool. Le scénario n'est finalement qu'un prétexte à mettre en boite une série B. plutôt bien fichue, son plus gros défaut résident dans son manque d'ambition flagrant.

Richard B : 2/10 (voir l'avis ICI)
Vincent L. : 4,5/10

 


Bah voilà, nous avons enfin mis la main sur la petite bombe de 2014 de cette édition du NIFFF, elle se nomme White God (Fehér isten) du Hongrois Kornél Mundruczó. Pas facile à retenir comme nom, mais fichtre, si le bonhomme fait des films aussi bons sur le reste de sa carrière on le suivra avec grand plaisir !

Afin de ne pas céder à une taxe sur les races croisées et suite à une légère altercation avec sa fille, Dániel décide d'abandonner le fidèle compagnon canin de Lili dans un coin sordide de la ville. Désormais seul et quelque peu désorienté, Hagen (c'est le nom du chien) va découvrir le vrai visage humain. Car oui, la pire des créatures est bien en l'homme qui n'hésite pas à trahir, torturer et tuer. Suite à ce constat, Hagen décide de rallier les chiens errants et de mener sa révolution.

Déjà vainqueur du prix « Un Certain Regard » de l'édition 2014 du Festival de Cannes, White God est très loin d'être un produit destiné à la jeunesse. N'espérez donc pas voir un Belle et Sébastien, un Rintintin ou encore un Benji. Non, Kornél Mundruczó livre un film politique autour de l'exclusion et, indirectement, la meilleure de plaidoirie pour la cause animale tout en lorgnant sur le film d'anticipation et d'horreur. Kornél Mundruczó, qui signe ici son sixième film, conserve sa maîtrise plastique et viscérale qui lui avait déjà permis par le passé de participer à quelques festivals (dont Johanna déjà présent en 2006 au NIFFF), tout en se laissant aller à un cinéma plus accessible, plus fluide, plus généreux.

Dès l'introduction, le réalisateur annonce le fort potentiel de son film, tout du moins visuellement. Nous sommes amenés à découvrir une petite fille de 13 ans sur son vélo traversant des rues entièrement vides de Budapest. En quelques secondes une armée de chiens apparaissent et tentent de rattraper la fillette. Cette dernière pédale de plus en plus vite, mais rien n’y fait, ceux qui sont à ses trousses sont plus rapides. Des images fortes, iconiques, à la photographie exemplaire et superbement chorégraphiée. Ces images nous interpellent déjà par leur beauté, mais aussi par l'impact immédiat qu'elles procurent. Et sur tout le long, la photographie de Marcell Rév et l'habileté de Kornél Mundruczó pour mettre en image le scénario nous amènera à découvrir un film dans lequel pas un plan ne semble de trop. Lorsque la violence apparaît, elle sera introduire de manière brutale pour marquer l'esprit et, par la suite, conduite par des hors champs laissant le spectateur imaginer, tel un savant calcul nous amenant à avoir les justes émotions en fonction de l'action. Et l'émotion ne manque pas. Entre dégout, amitié, amour, tristesse, sensation horrifique et exaltation, le scénario Kornél Mundruczó, Viktória Petrányi et Kata Wéber nous amène à un vrai festival, aidé en cela justement par des angles de caméra soigneusement choisis et une musique d'Asher Goldschmidt – qui réutilise merveilleusement le Tannhäuser Karajan de Richard Wagner ou encore le récital de piano de la Rhapsodie hongroise nº 2 de Franz Liszt (avec même un extrait à la télévision d'un épisode de Tom & Jerry) – accompagnant avec une permanente justesse les images. Une musique de plus introduite jusque dans la narration puisque l'héroïne se trouve jouer de la trompette et que l'instrument, de même que le thème qui est interprété régulièrement par la jeune fille, aura réellement son importance et rappelera ainsi l'importance de la musique sur notre état d'esprit.

Plus qu'une fable déjà extraordinaire pour la plaidoirie animale, démontrant la cruauté et la soi-disant supériorité de l'homme sur les humains, White God peut être aussi perçu comme un film sur l'exclusion,  l'abandon, la différence des catégories sociales ou raciales. Le film compte aussi en parallèle le combat d'une adolescente qui lutte pour ses idées et se faire entendre. Diverses thématiques poussant donc une certaine réflexion, tout en offrant un divertissement de haute tenue, rappelant d'une certaine manière Les Oiseaux d'Alfred Hitchcock ou même une symbolique équivalente à La planète des singes (sauf qu'ici il serait question de la planète des chiens). Le film surfe aussi vers le suspense et l'horreur, voir par moment vers le « gore grand-guignolesque », mais le tout est si bien introduit que cela se mélange en une harmonie ou pas une seule fausse note n’apparaît (même si on reconnait que les périples de la jeune fille sont un poil moins intéressantes que les mésaventures que traverse ce pauvre chien (reste qu'il semblait en effet primordial que le scénario suive les destinées parallèles de la maîtresse et de son chien).

On ne peut pas décemment terminer de parler de White dog sans évoquer le jeu de la jeune Zsófia Psotta qui fait preuve d'un véritable panel d'émotion, arrivant parfaitement à la fois à être une gamine (rebelle et capricieuse) et un sauveur (c'est elle qui à la plus grande part d'ouverture d'esprit et de passion). Mais la star est bel et bien Hagen qui était en fait interprété par deux merveilleux chiens, l'un prénommé Body et l'autre Luke. Pour peu on donnerait bien un oscar à ces deux là tant ils sont merveilleux.

White dog est donc plus qu'un film d'anticipation, plus qu'une fable, plus qu'un film d'horreur, plus qu'une satire politique, plus qu'une histoire ses des rapports d'amitiés, il est un ensemble de toutes ces choses qui font qu'il paraît impossible pour nous de croire qu'il ne raflera pas le prix du jury (la réponse ce samedi soir). Le film est annoncé pour sortir le 4 décembre. Notez bien cette date, car il vous appartiendra de rendre justice à se travail remarquable.

Richard B. : 9/10
Vincent L. : 7,5/10

 


​La journée se sera terminée sur l'irlandais The Canal, présenté dans la compétition internationale. David est cocu, et il le vit mal ! Un jour, le corps de sa femme est retrouvé dans le canal près de leur maison. Ravagé par cette mort, David se trouve soudain victime d'évènements surnaturels qui semblent en vouloir à son jeune fils. Entre enquête sur la mort de sa femme, invesitgations sur le passé de leur maison et apparitions diverses, David commence à petit à petit sombrer dans la folie...

The Canal est un film qui nous a également divisé. Entre un vrai manque de rigueur dans l'écriture du scénari et une mises en scène appliquée (notamment au regard du budget), il faut bien avouer que le film possède autant de qualités que de défauts.

Sur le fond, The Canal est donc très très léger : on peut deviner tous les tenants et aboutissants de l'histoire en quelques minutes, ls personnages sont peu intéressant, la descente dans la folie du héros est trop rapide pour avoir la subtilité voulue, les évènements manquent d'un double sens de lecture (ce qu'il aurait fallu pour que le scénario puisse bien fonctionner) et le final est tout simplement stupide (même si, pour le coup, il possède lui ce double sens de lecture). En terme d'écriture, les ambitions de The Canal apparaissent donc clairement, mais ne sont jamais correctement concrétisées.


Sur la forme, Ivan Kavanagh a tenté de faire quelque chose de plus profond, de plus psychologique, de plus travaillé. En terme de mise en scène, The Canal est un produit tout à fait correct. Malgré quelques effets de styles clichés (notamment au niveau sonore), le film bénéficie d'une bonne ambiance, d'une atmosphère bien travaillée sur la durée, de quelques scènes de fantômes/démons joliment mises en scène, d'une belle mise en valeur des lieux de tournage et d'un rythme bien entretenu durant tout le long-métrage. Avec un script un peu plus solide, nul doute que le réalisateur aurait pu nous livrer un film plus convaincant, peut être même un peu flippant.

Que vous cherchiez avant tout un scénario solide ou une belle mise en scène, The Canal pourra donc vous laisser sur des sentiments divergents, à l'image de notre ressenti pendant le film. Quoi qu'il en soit, The Canal n'est de tout façon pas un chef d'oeuvre, ni même un prétendant sérieux pour remporter la compétition, mais il permet de voir que son réalisateur en a sous le capot. A voir de quoi sera fait la suite de sa carrière.


Richard B. : 3/10
Vincent L. : 5/10

 

Nous n'en avons pas encore parlé, mais cette année, le Nifff fait aussi une session « Histoires du genre », et il se trouve que hier soir, en grand nostalgique de la période – pas prise de tête – des films Cannons, nous nous sommes précipités pour découvrir le documentaire The Go-Go Boys.

En effet ce film de 84 minutes retrace l'épopée de Menahem Golan et Yoram Globus dans leur poursuite du rêve américain jusque dans leur chute. Nous pourrons découvrir comment ils ont révolutionné Hollywood, créaient une société de production indépendante qui fut un temps plus puissante que toutes autres grands studios, réussies à produire pas loin de 300 films en des temps records et comment ces deux fortes personnalités au départ complémentaires et indissociables ont fini par se séparer et déduire une compagnie qui indirectement a marqué quelques adeptes de séries B couillues et primaires.

Chuck Norris, Jean-Claude Van Damme, Charles Bronson, Sylvester Stallone, Jon Voight, Michael Dudikoff, Dolph Lundgren, Richard Chamberlain et bien d'autres encore ont signé avec ce qui était la Cannon Group. Qui n'a jamais vu la série des Allan Quatermain, des American Ninja, Delta Force, un justicier dans la ville ou des Portés disparus ? La première adaptation « live » des maîtres de l'univers, ou encore Over the top, Cobra, Lifeforce, Massace à la tronçonneuse 2, Les Barbarians , Bloodsport, Cyborg, tout ça, c'est eux ! Certes des nanars pour une pléiade d'intellectuelles, mais pour d'autres des divertissements primaires et généreux qui remplissaient de bonheur nos journées. Nous découvrirons à travers ce documentaire passionnant les personnalités complexes de Menahem Golan et Yoram Globus avec beaucoup d'émotion et d'amusement. L'un était rêveur et passionné de cinéma, l'autre pragmatique avec des ambitions ouvertes de faire avant tout du business. Tous deux rêver de grandeur, l'un par la reconnaissance et pour vouloir oeuvrer dans un art l'autre pour réussir à monter une entreprise puissante et indépendante.

Pour tous ceux qui ont été fascinés par cette période et ces films, voici le documentaire unique et indispensable qui mettra en avant une aventure aussi incroyable qu'humaine.

Richard B. : 7.5/10

Auteur : Vincent L.
Publié le jeudi 10 juillet 2014 à 11h53

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